Lycée-Akatsuki : Nouvelle génération
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| November. {Je couche, je vole, je disparais. Je suis...LE PÈRE NOËL. °Finit.° | |
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+3Kidda Akiyou Kana November-La-Barbue 7 participants | Auteur | Message |
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November-La-Barbue Élève
Messages : 4 Date d'inscription : 20/09/2011
| Sujet: November. {Je couche, je vole, je disparais. Je suis...LE PÈRE NOËL. °Finit.° Mar 20 Sep - 15:32 | |
| Être membre du Lycée Akatsuki...
Souris pour la photoooo. | Pièce d'identité. | |
Nom(s) : O'farrell. Prénom(s) : November. Âge : Dix sept ans. Statut : Oh ! La charmante petit enfant qui étudie sagement. Race: Humaine. Interne ou Externe ? Interne.
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Le sujet devrait ressembler à... Il faut être objectif, November est une fille qui fait tourner la tête de part sa beauté. Et elle le sait parfaitement. Elle l'assume et en abuse. Narcissique ? Probablement... Peu importe. Elle a de long cheveux brun qui lui arrive jusqu'à la poitrine, si ce n'est pas un peu plus. Ils sont beaux, et November en prend beaucoup soin. C’est une fille qui prend beaucoup soin d'elle même, l'esthétisme est quelque chose de primordial. Pour vous aussi, ne dites pas le contraire. Elle a de longues jambes, celles qui lui donne une démarche gracieuse . Une carrure fine limite frêle, une poitrine de taille adapté au reste de son corps. Pour cibler plus le visage, elle a deux yeux, normal quoi, semblable a un océan dans lequel, si vous ne faite pas attention, vous pourriez vous y noyer. Bordés de longs cils, lui donnant un regard encore plus profond. Le visage de la demoiselle est la beauté sans artifices, nul maquillage, nul eye-liner, nul mascara, pas la moindre poussière de far à joues... Avouons que cela lui réussit pourtant plutôt bien.Son Visage à l’allure de poupée, dont les pommettes toujours un peu rose, s’accordent à merveille au sourire angélique. Elle est plutôt pâle, la jeune fille déteste le soleil, donc ne bronze pas souvent. Elle a un nez, normal légèrement en trompette. Et une paire de lèvre à en faire craquer plus d'un, naturellement roses et rarement maquillées. Pour garder cet air naturelle.
Vous êtes un homme ? Alors, ne mentez pas, avouez qu'elle vous attire ! Vous êtes une femme ? ... Eh bien, peut-être serez-vous aussi attirée ? Quoiqu'il en soit, rajoutez-lui quelques vêtements chics, classes, un peu bourgeois, british et excentriques, et vous tomberez sous son charme.
Puis devrait agir comme... « Comment ça le père Noël il n'existe pas ?! Vous avez une preuve concrète de ce que vous dites, hein ?! » Crédule ; Qui croit trop facilement, prompt à croire.
Non, c'est prouvé scientifiquement, No' n'a aucun problème psychologique, elle est juste beaucoup trop crédule. On lui inculque des principes depuis petite et elle ne verrait pas pourquoi elle devrait faire une croix dessus. De plus, jusqu'à preuve du contraire, chaque noël elle a eu un cadeau, alors comment ne pas croire au père noël ? La petite souris et la belle au bois dormant, ce ne sont pas des histoires, comment quelqu'un pourrait mentir ? Ça tombe sur la naïveté ça aussi vous allez me dire, et bien totalement, elle est aussi très naïve et ne peux nullement croire que quelqu'un lui mentirait. C'est impossible, personne ne ment, n'est-ce pas ? Toutes personnes normalement constitués trouverait ça totalement chou son comportement, avec ses pensées candide mais non. Vous savez pourquoi ? Parce que November porte très bien son espèce, et est quelqu'un de particulièrement froid et agressif dans sa façon de parler. Elle ne le fait pas exprès mais elle devient vite méchante, rétorque des saletés plutôt que dire des compliments, c'est sa façon à elle de s'exprimer. Elle reste à l'écart des autres, souvent posée dans son coin à écrire ou lire, lorsqu'on l'embête un peu trop, elle s'énerve, quoi de plus normal ?
Ah, aussi c’est la plus grande fan de sucreries qui existe j’en suis sûr, gourmande et gourmande…Et nous parlons là seulement de la partie émergée de l’iceberg, je ne te raconte pas le capharnaüm de la partie immergée… C'est une vraie goinfre.
On raconte qu'elle est météoropathe à l'extrême, le temps qu'il fait dehors aurait un impact énorme sur elle. Quand il fait beau, elle ferait son âge, elle est joyeuse, hyperactive et limite inconsciente de ce qu'elle fait, mais on lui donne sans peine ses dix sept ans quoi. Elle est aussi très altruiste, et c'est vraiment rare de voir une fille aussi désintéressée, vraiment le genre un peu bizarre et très excentrique. Si il pleut, elle n'est pas triste, bien au contraire elle adore vraiment la pluie et elle perd dix ans d'âge mental. Elle n'en a rien à foutre, passez-moi l'expression, d'être clouée au lit pendant une semaine après, lorsqu'il pleut vraiment fort elle passerait des heures sous la pluie gelée en sautant dans les flaques. Elle devient par contre, comme tous les gosses, égoïste et capricieuse, facilement boudeuse même si ça ne dure jamais longtemps. Mais elle est aussi très attachante dans ces moment-là, une vraie peluche, même sans le vouloir elle redonne le sourire à tout le monde avec sa joie de vivre exacerbée. Par contre, elle déteste quand il fait gris. Elle devient hypersensible à tout, elle pleure ou rigole pour un rien, totalement imprévisible, ses émotions font les montagnes russes, et on ne sait jamais à quoi t'attendre. C'est stupide, si l'on faisait plus attention à elle, on verrait que c'est juste une habitude de porter un "masque" joyeux un jour de pluie et "distant" un autre. Elle est tellement inconsciente qu'elle en devient limite dangereuse, en fait, elle est dangereuse. D'ailleurs, elle aime beaucoup faire ce genre de chose, surtout avec son cutter, évidement personne s'en doute, elle est trop pure pour qu'on l'imagine aussi violente. Voir souffrir ces pauvres gens sans raison, c'est jouissif. Avec son attitude enfantine, elle commet les pires horreurs en souriant comme une gamine. Elle n'y peut rien, chassez le naturel, il revient au galop ! Elle aime beaucoup lancer des sarcasmes, des piques, acerbes, lorsqu'on reste trop avec elle ou qu'on s'approche trop d'elle. Elle aime le contact humain mais elle ne l'aime pas... Quelle logique ! Si mignonne n'est ce pas ? Elle peut être cependant une personne très posée, réfléchie et minutieuse dans ses actions, mais ça, c'est quelque chose qu'il vaut mieux garder pour elle. November, c'est surtout quelqu'un sans réelle personnalité, elle se montre un jour pour faire le contraire le lendemain, c'est si dure de se cacher...
Et avoir vécu... Le déni est un mécanisme de défense représentatif de la délicatesse humaine. Il est ce frein que l’on impose aux évènements traumatiques, et qui nous rend décalé de la réalité que l’on s’est évertué à rendre plus supportable. Ce rejet des sentiments douloureux aura marqué l’existence d'November dans sa totalité. Pourtant, sa vie a été jalonnée d’expériences toutes plus banales les unes que les autres, mais celle-ci, dans son étrange normalité, l’aura blessée plus que tout. C’est sur celle-ci que se focalise ce récit, car parmi toutes, ce fut celle qui la forgea le plus.
November fut le résultat d’une union entre deux personnages influents, dirigeant ensemble une entreprise, pilier de leur riche famille. Zoé et Enzo O'farrell n’oeuvraient que pour le bonheur de leur enfant unique. A défaut d’avoir pu en avoir un second, ils se concentrèrent exclusivement sur ses besoins, l’entourant, la surprotégeant, et la gâtant de présents aussi matériels qu’affectueux. Ils ne voulaient pas faire d’elle une enfant gâtée, ils désiraient l’élever au-dessus de tous ces irréductibles bourgeois qui, sous prétexte qu’ils étaient issus d’une prestigieuse dynastie, s’octroyaient tous les privilèges. Leur principal objectif était d’imposer des limites à l’esprit de November, afin qu’elle ne soit pas contaminée par cette cupidité et cette méchanceté qui avaient tendance à caractériser les autres membres de leur communauté. Cette communauté éminemment constituée de représentants de la bourgeoisie moderne, et auprès de qui ils se montraient les plus courtois possible. Dans ce cercle très fermé, tout était une question de réputation, et celle-ci ne pouvait s’embellir que si le comportement allait avec. Ils faisaient ainsi preuve d’une magnanimité et d’une reconnaissance éternelle, envers ceux qui, par le bouche à oreille, décoraient leurs patronymes d’innombrables éloges. Sans prétention, ils avaient su étaler leurs compétences de business men, faisant de leur entreprise une entité bientôt très connue. On s’arrachait leurs services, ils étaient au paroxysme du bonheur.
Pendant ce temps, November grandissait. Elle développa un goût très prononcé pour les arts. A l’âge de six ans, elle demanda à ce qu’on l’inscrive à un cours de danse, ce qu’on lui céda, jugeant préférable qu’elle s’ouvre aux autres. De ce fait, en plus de côtoyer les camarades de son école primaire située en plein centre de Londres, elle élargit considérablement ses horizons. Cependant, elle n’entretint aucune relation amicale digne de ce nom. Assez maladroite, elle se qualifiera plus tard d’handicapée sentimentale. Elle était le stéréotype de la fillette timide, qui se rongeait les ongles en présence d’un inconnu, et qui baissait les yeux en rentrant ses épaules lorsqu’on lui adressait la parole. La communication avec son prochain n’était pas son fort, et ce tempérament assez réservé lui porta maintes fois préjudices. Elle ne savait pas dire “non”, et tous les principes qu’on lui avait inculqués, et selon lesquels il lui fallait se défendre corps et âme, furent oubliés. Elle savait pertinemment qu’elle ne pouvait chasser son naturel, et quand bien même si sa timidité la bloquait considérablement, elle ne se plaignait pas. Contrairement à ce que ses parents surbookés s’imaginaient, elle n’était au contact des autres que parce qu’elle se mélangeait aisément à eux, passant inaperçue en dépit de sa présence. Quand elle était en classe, elle s’asseyait continuellement au fond de la salle, à cette table que tous les enfants méprisaient et diabolisaient pour la solitude qu’elle imposait. Quand elle s’entraînait à la danse avec son professeur pour la guider, son langage reposait exclusivement sur les mouvements de son corps, et sur les expressions de son visage. Un simple hochement de tête voulait dire beaucoup pour elle, et ne parlons pas de ces sourires qu’elle avait appris à interpréter au fil des années. Il y en avait qui vous fendaient le coeur, c’était bien connu. D’ailleurs, elle fit l’expérience de ces sourires discordants, qui s’efforçaient de transmettre la joie alors qu’ils étaient d’une froideur et d’une tristesse dérangeantes. A défaut de privilégier le dialogue, elle avait peaufiné son observation, sauf que cette dernière fut bientôt altérée par un évènement anéantissant radicalement son objectivité.
Tous les souvenirs furent enterrés un 20 janvier. Un sourire de moins était à compter sur cette planète. La famille O'farrell ainsi que celle de Zoé étaient réunies en cette funeste journée, où le ciel pleura pour accompagner le départ de cette dernière. De nature anxieuse, ses craintes sans objet défini avaient fini par lui porter préjudices, emportée subitement par une crise cardiaque que personne n’était parvenu à expliquer. Il y avait entre le corps et l’esprit un lien invisible mais bel et bien vivace, les faisant s’enfoncer mutuellement lorsque l’un ne parvenait plus à suivre l’autre. Cet équilibre brutalement interrompu avait suffi à anéantir une famille entière, marquée par la personnalité subtile et courageuse de cette grande dame.
Des signes flagrants prouvèrent à November que le travail du deuil était un combat difficile et parfois insurmontable. Ces signes, elle les vit à travers son père, son comportement, cette façon de vouloir immortaliser ce qui n’avait plus lieu d’être. Il ne voulait pas accepter, il se terrait dans un passé désormais révolu, il ne voyait pas que le présent n’avait rien à voir avec cette réalité reconstruite, dans l’optique de la rendre plus supportable. Il était en proie à une détresse telle, que sa fille fut inapte à raisonner de manière cohérente, parce qu’elle ne voyait pas comment éviter de le froisser, à moins de se forcer à lui dire la vérité. Tout du moins, elle pouvait toujours s’essayer à la lui rappeler, mais il n’écoutait pas, il prenait racine dans des souvenirs qui le rongeaient de l’intérieur, et qui ne tarderaient pas à avoir raison de lui. Il suffisait de l’observer pour constater à quel point Zoé le hantait, comme un fantôme se fondant dans chacun de ses pas. Dans les placards de la cuisine, les boîtes de thé s’entassaient, à mesure qu’il les achetait. En effet, le thé était la boisson favorite de son épouse, elle en prenait à n’importe quelle heure de la journée, elle en emmenait toujours avec elle au bureau dans un thermostat qu’Enzo continuait de remplir et d’emporter sur son lieu de travail, même après sa mort. Il ne savait même pas pourquoi il agissait ainsi, ça lui semblait tout à fait normal, et il ne s’inquiétait pas de remarquer que le thé ne désemplissait pas, au point qu’il ne restait plus de place pour les autres aliments. November finit par agir d’une façon ou d’une autre. Dans un premier temps, elle se rendit complice de ce mensonge qu’il se faisait à lui-même. C’était elle qui consommait ce thé, quand bien même si elle avait une sainte horreur de ce liquide qu’elle trouvait infâme, peu importait le parfum qu’on lui attribuait. Il ne faisait que nourrir des souvenirs qui devaient rester au passé, au lieu d’être sempiternellement réanimés. Elle souffrait en même temps que son père persistait dans son délire, y adhérant totalement, inconsciemment piégé dans sa propre tentative d’autoguérison. Elle ne voulait pas briser son monde, il semblait si bien tenir en dépit de son absence. Il souriait, il avait encore de la motivation pour mener son entreprise. Toutefois, comment pouvaient bien réagir ses employés en l’entendant dire au cours de ses réunions, que tous les dossiers clos devaient être apportés au bureau de Zoé ? Voilà des mois qu’il n’était plus occupé. Même Enzo n’y pénétrait pas, probablement parce que la prise de conscience serait trop pénible. Mais on le confortait dans son idée, on obéissait simplement et sagement. Et dans le bureau désert, les dossiers s’empilaient, l’entreprise stagnait, et son patron s’enfermait dans une sorte d’euphorie indicible, qui tendait à masquer maladroitement la souffrance de l’évènement passé. Les semaines s’écoulaient, et rien ni personne n’osait s’opposer à lui. On savait que c’était un cœur brisé, et on craignait de l’effriter davantage en lui annonçant que le symbolisme des gestes et des objets n’y changerait rien.
Dans leur prestigieux appartement Angleterre n, les fantômes continuaient d’errer, tandis que November grandissait. Elle s’apprêtait à entamer une année de plus, à l’aube de son quatorzième anniversaire. Sa mère avait quitté le nid six mois auparavant. Nous étions au mois de mai, l’année scolaire allait bientôt se terminer. A défaut de pouvoir compter sur l’affection de son père, mademoiselle O'farrellapprit à se familiariser avec de parfaits inconnus, faisant oui ou non partie de son établissement scolaire. Elle sympathisa même avec quelques danseuses de son club, qui ne lui avaient jamais adressé la parole, mais en qui elle trouva un soutien très efficace. Elle ne se voua plus qu’à sa passion, à sa scolarité, et à toutes les relations que cela induisait. Elle souffrit naturellement de la bêtise de certains, de sa séparation avec d’autres, et de ce dont l’humanité est constituée. Parce qu’elle l’avait bien compris, elle n’était pas à prendre avec des pincettes, et il ne fallait pas oublier de scruter les deux côtés de la médaille. Désormais, le principal problème qui se posait était son équilibre familial, mais ce fut elle qui fuit cette fois-ci, appréhendant chaque fin de journée où elle devait retrouver l’épave humaine qui traînait des pieds dans leur appartement. L’état d’Enzo n’allait pas en s’arrangeant, mais sensiblement, il prenait progressivement conscience de ce qu’il avait perdu, et de la stupidité de son comportement qui ne faisait que l’enliser dans une profonde déprime. Son mutisme était dérangeant, tout comme ces sourires faux qu’il adressait à sa progéniture, dans l’espoir qu’elle ne lui pose aucune question, qu’elle le laisse périr en silence. Mais c’était sans compter ses relations professionnelles, qui préférèrent abattre une main lourde d’indélicatesse et de cruauté, pour qu’il ne soit plus à même de pouvoir se mentir. On lui ouvrit les yeux d’une façon particulièrement abjecte, et il reprocha à sa propre fille de ne pas avoir pris ses responsabilités. Quelques semaines après sa brusque prise de conscience, il avouerait à November, qu’il aurait préféré que ce soit elle qui ébranle sa tentative de reconstruction, plutôt qu’un autre dont l’influence n’avait absolument rien à voir avec celle de sa fille. Il lui en voulut, et November se sentit coupable d’avoir exploité un mensonge aussi altruiste que disqualifiant, et qui creusa un gouffre considérable entre elle et son géniteur. Heureusement, ce ne fut que temporaire et après une longue étape d’accommodation, ils entreprirent de se prendre la main et d’affronter ensemble cette pénible absence. Ils réorganisèrent progressivement leur quotidien, apprenant à faire sans les délicates intentions d’une épouse et d’une mère, dont ils avaient exposé les quelques photographies un peu partout dans leur demeure. Il tenait à ce que son souvenir perdure, et ce fut ainsi qu’ils le rendirent plus supportable, en l’acceptant telle quel. Après six mois de stagnation, l’entreprise O'farrell reprit du poil de la bête. Enzo ne vivait plus que pour sa fille en qui il croyait ardemment, et ce second enfant qu’il avait conçu avec Zoé, et qui était d’une puissance économique considérable.
Cet évènement ne fut pas sans séquelles dans la personnalité de November. Ce qu’elle est aujourd’hui n’est qu’une conséquence de la disparition de son infante. Aujourd’hui, lorsque vous la voyez s’installer sur le banc d’un amphithéâtre, en attente d’un quelconque cours de psychologie, vous percevez un grand vide qu’elle n’avait vraiment pas autrefois. Avec le temps, elle s’est armée de verve et de confiance, pour ne plus se sentir contrainte de dire « oui », à chaque fois qu’on lui demande un service. Ses yeux autrefois doux et son regard hésitant, ne sont plus qu’un cocktail détonant d’audace et de vide, vous faisant ainsi supposer qu’elle ne recule devant rien pour réussir. Son apparence soignée ainsi que ses petits sourires discrets, en font un personnage aussi atypique que sympathique, dont le groupe d’amis est apparemment peu consistant. Elle est devenue une jeune fille de dix-sept ans, qui aura quitté l'Angleterre deux ans auparavant car elle a toujours manifesté l’envie de faire ses études supérieures ailleurs. Il y a bien longtemps, elle a jeté son dévolu sur un pays riche en histoire, le Japon, à Akatsuki. Son père, lui, continue de diriger son entreprise internationale de son pays natal, l’Angleterre , où il a pu retrouvé une partie de sa dynastie. Tous deux sont devenus extrêmement fusionnels, rapprochés inéluctablement par le souvenir de la Femme de leur vie, celle pour qui ils continuent d’avancer, en dépit de la nostalgie qui les tiraille quelques fois. November ne sait pas de quoi demain sera fait, mais son honnêteté tranchante adoptée depuis le mensonge altruiste qui faillit lui coûter l’amour de son père, lui permet de braver bien des obstacles, tout en se prenant des retours de foudre. Mais outre ce tempérament de feu, il est fort probable qu’elle souffre de cette dépendance à l’Autre, et du méconnu qui menace à tout instant de la surprendre, dans le bon et le mauvais sens du terme. Comme November n'a que dix sept ans et que son père et en Angleterre , elle est allée au pensionnat Akatsuki.
Et y'a des trucs en particulier... Et bien, la damoiselle n'a rien en particulier mis à part qu'elle est persuadé que les contes existent réellement et les voit assez souvent bien qu'il ne s'agissent que d'hallucination, rien de bien grave. *Ahem.* Elle a peut être un petit côté psychopathe et organise de temps en temps des petites séances tortures avec ses gentils camarades en utilisant son cutter. Ce n'est pas vraiment important n'est ce pas... ? ~ Sinon elle a la capacité de donner vie à un objet/être inanimé. Evidemment son pouvoir à des limite, elle ne peut donner vie seulement l'espace d'un temps limité en fonction de l'objet. Plus il est petit, plus il restera longtemps en vie. Il faut qu'elle touche le jouet pour qu'il s'anime, celui-ci est doué d'une conscience et de parole, le jouet est totalement à ses ordres, sii le jouet est "blessé", elle souffre légèrement.
Le code Et vous alors ? Ton prénom? : Nan mais genre... T'as déjà vu un super héros dévoiler son identité toi..? Ton âge? : Demander cela à une dame, quelle idée saugrenue. Un certain âge. Comment as-tu connu ce forum?: Si je ne venais pas, on m'enfermait dans une cage. Une amie m'a ordonné de venir dessus et normalement elle me rejoindra plus tard. ~ Si par un membre, lequel ? : Plouf. Commentaires?: Yup, dans le model de la fiche de présentation à la place de "Caractère" y'a écrit "Cratère" de même qu'au lieu d'avoir "Caractéristiques" y'a "Caractèristiques". Sinon c'est un forum qui a l'air sympathique. ~
Dernière édition par November O'farrell le Mar 20 Sep - 18:00, édité 1 fois | |
| | | Kana Élève
Messages : 979 Date d'inscription : 24/05/2010 Age : 27 Localisation : Dans les mots...;)
| Sujet: Re: November. {Je couche, je vole, je disparais. Je suis...LE PÈRE NOËL. °Finit.° Mar 20 Sep - 17:15 | |
| Bon ben moi j'te dis bienvenue! ^^ Au plaisir d'RP avec toi, je suis aussi Rori et Sasori. Et comme quelques un des nouveaux (voir tous), je suis dsl, je n'ai pas lu entièrement ta fiche! ^^'
Amuse toi bien parmi ces fous! x) | |
| | | Kidda Akiyou Élève
Messages : 124 Date d'inscription : 31/05/2011 Age : 27 Localisation : Senis dans ma chambre
| Sujet: Re: November. {Je couche, je vole, je disparais. Je suis...LE PÈRE NOËL. °Finit.° Mar 20 Sep - 18:49 | |
| YOSHHHHHHHHHHHh a enfin une fille qu'il n'arrive pas les codes HTML je l'aime cette fille je suis plus la seule xD Bienvenue et au plaisir d'RP avec toi ! | |
| | | Noburo Karasu Élève
Messages : 82 Date d'inscription : 03/01/2011 Age : 30
| Sujet: Re: November. {Je couche, je vole, je disparais. Je suis...LE PÈRE NOËL. °Finit.° Mar 20 Sep - 23:48 | |
| Bienvenue à toi | |
| | | Nahima Shinai Directrice
Messages : 437 Date d'inscription : 07/01/2010 Localisation : En continuelle fuite =)
| Sujet: Re: November. {Je couche, je vole, je disparais. Je suis...LE PÈRE NOËL. °Finit.° Mer 21 Sep - 3:05 | |
| Eh bah, Wow. Validée, et bienvenue. Tu m'intrigues et magnifique fiche. Et merci pour les remarques x) On va arranger tout ça! Bon Rp, rien à redire, sinon que je suis euh.. ahuris. Bref J'espère que tu te plairas ici! Désolé pour le code, c'est ma faute >x< Nat' te fâche pas é_è | |
| | | November-La-Barbue Élève
Messages : 4 Date d'inscription : 20/09/2011
| Sujet: Re: November. {Je couche, je vole, je disparais. Je suis...LE PÈRE NOËL. °Finit.° Mer 21 Sep - 12:37 | |
| Euh bah... Merci ? Je suppose... Je ne peux que me plaire ici, sinon je ne me serais pas inscrite ! /o. | |
| | | Aki Élève
Messages : 834 Date d'inscription : 23/02/2011 Age : 29 Localisation : au calme, se prélassant au soleil =}
| Sujet: Re: November. {Je couche, je vole, je disparais. Je suis...LE PÈRE NOËL. °Finit.° Mer 21 Sep - 15:22 | |
| Bienvenue à toi et super belle fiche | |
| | | Natsuki Élève
Messages : 720 Date d'inscription : 11/03/2011
| Sujet: Re: November. {Je couche, je vole, je disparais. Je suis...LE PÈRE NOËL. °Finit.° Mer 21 Sep - 16:37 | |
| Bienvenue !
Nahi tkt pour la fiche ! Juste, flemme de refaire alors...! Validé quoi u_u' ! | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: November. {Je couche, je vole, je disparais. Je suis...LE PÈRE NOËL. °Finit.° | |
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| | | | November. {Je couche, je vole, je disparais. Je suis...LE PÈRE NOËL. °Finit.° | |
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