Mes trucs a moi.

~1

Accoudée à la fenêtre,
Je regardais les flocons tombés.
Je fouillais en mon être,
Pour savoir, Par qui suis-je capturée.

Qui de vous deux,
Ma pris mon cœur,
Si vous faites partie de ceux,
Qui me connaissent parqueur.

Mon âme se divise,
Mon être se brise.

Tu ne te rends pas compte,
Qu’a chaque fois que tu dis mon prénom,
J’ai l’impression d’être poignardée,
Je suis emplie d’une douleur,
Et j’ai peur.

Tu ne te rends pas compte,
Qu’a chaque fois que tu me parle,
Je veux rester auprès de toi,
Qu’ensemble, on avance pas à pas.

Mon âme se divise,
Mon être se brise.

Qui de vous deux,
A kidnappé égoïstement mon cœur ?

~2

C'est un jour pluvieux
C'est un jour heureux.
Alors prend ma main,
Allons, ensemble, vers le lendemain.
Sourions et défions,
Les cieux et les dieux
Le malheur c'est comme le bonheur
La paresse c'est comme la sagesse
Réveille toi de tes songes,
Tu ne fais que t'enfoncé dans tes mensonges.
Qui te détruisent, qui te rongent.
Ne fais pas attention a l'heure,
Ne souris pas, pleure
Tu libéreras ton coeur.
N'attend pas, fonce,
N'évite pas les ronces.
Affronte tes problèmes,
Et porte ton emblème.
Délivre toi de tes illusions,
De ta prison.
Ne te fie pas a leur "vérité",
Ni a leur fidélité.
Sache que tes vrais amis,
Son ceux qui penseront a toi, tout leur vie.
Comprend que dans ce monde,
Tous te sonde.
Comprend qu'il est dangereux,
Qu'il est malheureux.
Derrière toutes ces facettes.

~3

Il y a cette présence,
Cette souffrance,
Qui me fait me sentir moi,
Et qui pourtant me fait mal de toi.
Tu es cette douleur,
Qui me poignarde le cœur.
Ce n'est pas pour un jour,
Que durera cet amour…

~ ~ ~
Je perds le sol
Je m'envole
Je cherche la lune
La légende des runes
Le ciel bleu
Me conduit aux cieux
Juste pour voir ses yeux
Ceux de l'impossible
Qui m'est devenu accessible

~ ~ ~4

Je n'aurais jamais cru que notre Rencontre,
M'empêcherais de regarder ma montre,
Que les heures se transformerais en secondes,
Que je chercherais tes yeux de feu qui me sondent.
Je ne sais pas quel est cette douleur,
Qui me poignarde inlassablement le coeur,
A chaque fois que je te vois.
Mais pourtant je n'ai pas de rancœur.
Maintenant, je ne peux pas me passer de toi,
De cette souffrance lancinante,
Qui me fait perdre tout mes sens.
Mais cette partie de moi,
Me met en émoi.
Me crie de partir loin de ta présence.
Que je suis dangereuse,
Moi, cette fille peureuse.
Mais je ne peux me passer,
De nos regards,
Qui ne se croisent pas par hasard.
Je veux simplement rester à tes côtés.
Pour que je puisse penser qu'un jour,
Nous serions réunis pour toujours...

Je serais sereine,
Si je pouvais te dire je t'aime...♥
...Peux-tu m'entendre?
~5
Je pleurs ton sourire
Que j'ai perdu,
Détruit par ce sentiment,
Qui est tombé dans le néant,
J'ai brisé ton rire,
Par mes désirs!
Je regrette ces choix.
Cette seule voie!
Je souffle doucement,
Un soupir,
Rempli de larmes.
Pourquoi suis-je si différente?
Pourquoi t'ai-je tué,
Toi qui souffrais déjà bien assez?
Ma voix cassée,
Chante encore,
Pour pouvoir entendre,
Le son venant de toi!
Ce cœur blessé,
Pense encore au passé.
A notre souvenir oublié.
Je me souviens parfaitement,
Comment tu me souriais à moi,
Et pas aux autres.
Je me souviens parfaitement,
De nos moments passés ensemble!
Mais, je sais,
Qu'un jour,
Notre histoire,
Sera effacée,
Pour qu'on puisse se libéré,
Et qu'on réécrissent,
Notre roman de sentiments.
Pour qu'on puisse parler des cerisiers,
Sans pleurer,
Sans ce sourire amoureux,
Qui s'affichait à chaque fois,
Que l'un entendait la voie de l'autre.
Pour qu'on puisse un jour s'oublié,
Pour qu'on puisse un jour réapprendre à aimer.
Mais on sait que pour toujours,
Ce lien invisible,
S'accrochera à nous,
Pour qu'un jour,
Pour qu’au delà de la mort,
Qui nous sépare,
Nous puissions nous retrouver.....

~6

Mon coeur se sert toujours,
A la seule pensée de ton sourire.
Je te vois évoluer dans un monde différent du miens,
Nous sommes côte a côte, et pourtant si éloigné l’un de l’autre !

Je peux te voir rigoler avec tes amis,
Moi toujours loin derrière toi.
Ton regard ne c’est jamais tourné vers le mien
No seuls pensées sont contraires.

Complètement différents,
Et pourtant, je me sens si irrémédiablement attirer a toi.
Ce sentiments grandi, et j’ai de plus en plus de mal a le caché,
Mais seulement, il ne pourra pas s’épanouir,
Sans eau.

Ce liquide précieux, et devenu rare,
Ne coule pas pour cette fleur fermée.
Tes yeux se tournent toujours au loin,
Ne croisant jamais mon regard.

Je ne supporte pas,
Te voir évoluer dans un monde différent du mien,
Tu es pourtant si proche de moi, mais jamais tu ne te tourne vers moi !
Pardonne-moi d’être égoïste,
Mais s’il te plait, jette moi juste un regard !

Je n’espère déjà plus,
C’est comme si j’attendais la pluie durant cette sécheresse.
Je n’aurais jamais l’occasion de voir ce regard,
Qui m’est entièrement destiné.

Je ne veux plus espéré,
Un quelconque signe de ta part.
Cette fleur qui avait grandi,
Commence a mourir,

Car cette eau devenu trop rare,
Ne coulera jamais dans sa sève.
Car cette amour,
Ne lui sera jamais destiné.

Excuse-moi d’être égoïste.
Mais je n’ose même plus espéré,
De te sentir proche de moi.

Il ne me reste plus qu’un douloureux souvenir,
De ce sentiment,
Qui ma longtemps, et qui lacère toujours,
Ce cœur meurtris par le temps…

--7

Mon coeur se sert toujours,
A la seule pensée de ton sourire.
Je te vois évoluer dans un monde différent du miens,
Nous sommes côte a côte, et pourtant si éloigné l’un de l’autre !

Tu as toujours ce regard désespéré,
Toujours loin derrière moi,
Tu n’as jamais remarqué, ce regard que je porte sur toi.
Nos seules pensées sont contradictoires.

Nous sommes le yin et le yang
Nous sommes des êtres opposés, qui ne peuvent se passer de l’un et de l’autre !
Cette partie de moi, que personne ne voit,
Cache cette immense sentiment, qui t’es destiné.

Tu as toujours eu, cette souffrance dans ton regard,
Un sourire qui s’égare, dans une grimace de douleur.
Tes yeux n’ont jamais croisés les miens,
Car un voile de désespoir, voilait ton regard.

Je te vois lentement, t’éloigner de plus en plus de moi.
Nos mondes sont totalement différents,
Je ne croiserais jamais ton regard,
Pardonne-moi d’être si timide,
Regarde juste dans ma direction… !

Je ne veux plus, ressentir cette lueur d’espoir,
Quand tu regarde par ici, alors qu’après,
Tu évite toujours mes yeux.
Il n’y a plus que noir et désespoir,
Dans mon âme…

Tu me tourne déjà le dos,
Tu renonce déjà a notre histoire d’amour,
Qui n’a même pas eu le temps de débuter.
C’est ainsi, que nos regards ne se croiserons jamais !

J’aurais voulu,
Te serrer dans mes bras,
Te crier bien fort, que je suis là !
Retourne-toi je t’en prie !

Je ne peux imaginer mon avenir,
Sans ta présence auprès de moi !
Retourne-toi, je t’en prie…

Ecoute mon cœur,
Qui ne bat que pour toi !
Mais peu importe combien de fois, je crie vers toi, pour toi,
Tu ne te retourneras pas,
Me laissant avec cet amour qui t’étais destiné…


~8

Mon cœur se fend,
Lorsqu’il te voit sourire a une autre personne que moi.
Ta simple présence suscite,
Une explosion de feu d’artifices,
Qui se cache derrière une façade souriante,
Alors qu’en vériter,
Je suis toute chamboulée,
Je me demande si ces sentiments que j’éprouve pour toi,
Me sont rendus secrètement…
Je ne peux pas te le dire clairement,
Car si je te le crie,
J’ai peur de te perdre.
Notre amitié,
Si compliquée,
Ne s’arrêtera pas là,
Et c’est sans savoir mes véritable sentiments,
A ton égard,
Nous resterons amis,
Simplement…
Je ne veux te l’avouer,
Je serais trop effrayer de te voir t’éloigner de moi.
C’est sans le remarquer,
Que nous marchons côte a côte,
Un lien d’une pure amitié,
Qui nous unis a vie.
Oh, sa fait mal,
Cet amour non-réciproque…

~9

Ecoute, les battements de mon cœurs,
Qui tembouronnent,
Et qui, pour finir,
Explose en un milliers de feu d’artifices,
Tu ne vois pas,
Ce regard que je te lance.
Car pour toi,
Je ne suis qu’une amie.
Mais sache que pour moi,
Tu es encore bien plus que sa…

~10

Cette douce musique,
Commence toujours,
Lorsque tu es auprès de moi.
Et ce chant triste,
S’exprime alors que tu es loin de moi.
Elle crie son désespoir,
Mais tu ne l’entend pas.
Tu me tourne toujours le dos.
Cette souffrance,
Est violente,
Et pourtant, j’ai appris,
A l’apprécier.
Car cette douleur au cœur,
Est née grace a toi.
Cette mélodie,
Ne se termine pas,
Car toujours,
Je pense a toi.
A cause de ce sentiment,
Appelé amour…

~11

C'est cette mélodie,
Qui me fait plongé dans la mélancolie.
C'est la magie de la nostalgie.
Les larmes coulent de mes yeux vides.
Aucun son ne sort de mes lèvres,
Et aucun bruits vient me perturbé.
Je ne suis plus qu'une poupée de son,
Une poupée sans expression,
Une poupée de cire,
Désarticulée,
Qui attend au fond de la chambre interdite,
Qu'on vienne la libéré,
De ces meurs,
De ces chaines.
C'était la douce mélodie d'un piano,
C'était le son de la mélancolie,
La magie de la nostalgie.
C'était une prison triste,
C'était la musique,
De son enfance,
De son passé tragique.
Il ne reste plus que,
Le doux son de ses larmes,
Qui s'écrasent au sol,
C'était ma berceuse de ces nuits ténébreuses….

~12

Même si ton regard ne se tourne pas vers moi.
Même si ton souffle ne murmure pas mon nom
Même si t’es pensées ne sont pas pour moi
Même si ton cœur ne m’appartient pas
Je veux que tu sache que je t’ai toujours regardé
Je veux que tu sache que c’est ton nom que je murmure
Je veux que tu sache que mes pensées se dirigent toujours vers toi
Je veux que tu sache que mon cœur est tien…
Tu es aussi proche de moi qu’éloigné
Tu es aussi accessible qu’inaccessible
Tu es aussi apaisant que douloureux
Tu es aussi celui que j’aime.
Ce sentiment me donne la force
Ce sentiment me donne la douleur et la peine
Ce sentiment me donne l’amour
Ce sentiment est celui que j’éprouve pour toi.
Toi, Tu ne me vois pas ainsi
Toi, Tu ne sais pas que je te vois ainsi
Moi, je te vois ainsi
Moi, je sais que tu ne me vois pas ainsi…
Dans ton cœur, je suis sûrement la dernière
Dans mon cœur, tu es le premier…

~13

Lève les bras
Tend les mains
Regarde le ciel
Vers ton lendemain.

Ne lache pas prise,
Fait attention,
Ne fait pas de crise,
Ne tourne pas en rond.

Regarde en haut, pas en bas.
Continue ton chemin,
Ne fait pas attention a moi.
Ne brise pas notre lien.

Même si tu pars au loin,
Je m’accroche a la roche, a la pierre, au cordes.
Je ne fuirais jamais rien.
Rien de la sorte.

Lèves les bras
Tend les mains,
Regarde le ciel
Vers ton lendemain.

J’affronterais les dieux, le temps et l’univers,
Pour régner sur ma misérable vie
Je sauverai la terre entière
Et par-dessus tout, j’entenderais a nouveau
Ton magnifique rire.

Regarde en haut, pas en bas.
Continue ton chemin,
Ne fait pas attention a moi.
Ne brise pas notre lien.

Même si tu disparais,
C’est a toi que je penserais,
Même si je disparaîtrai,
Mon cœur t’appartiendra à jamais…

~14

Parce que je ne cesse de t’aimé,
Je me sens si désarmée.
Parce que je ne cesse de t’aimé,
Je me sens si attristée.
Et le pire,
C’est que je ne peux même pas
Empêcher cet amour de grandir.

Tous tes gestes, à toi.
Me font ressentir, en moi.
Un tourbillon de sentiments
Qui me font oublier la notion du temps.
Et le pire,
C’est que j’arrive encore à me mentir.
Sur ce que je ressens vraiment.

Parce que je ne cesse de t’aimé,
Je me sens si désarmée.
Parce que je ne cesse de t’aimé,
Je me sens si attristée.
Et le pire,
C’est que je ne peux même pas
Empêcher cet amour de grandir.

Et pourtant,
Même si cette sensation,
Me fait si mal,
Je succombe à la tentation,
Je me sens si heureuse.
Et le pire,
C’est que je n’arrive même pas,
A te le dire…

Parce que je ne cesse de t’aimé,
Je me sens si désarmée.
Parce que je ne cesse de t’aimé,
Je me sens si attristée.
Et le pire,
C’est que je ne peux même pas
Empêcher cet amour de grandir.

Tout ce que je peux faire pour l’instant,
Est de te regarder.
Est de te parler,
Est de rigoler,
Comme si de rien était.

Et le pire dans tout ça,
C’est que je ne cesse de t’aimé.
Et le pire,
C’est que le temps ne peut rien y changer.
Il ne fait qu’empirer.
Mais ce qu’il y a de plus horrible pour moi.
Est-ce de te l’avouer, te le dire,
Ou que tu ne le remarque pas toi-même ?
Et tout ça parce que je t’aime…

~15

Tu dormiras sur ton étoile
Une seule fois dans ta vie
Tu verras se que sa fait
Je ne peux rien te dire
Je ne connais rien mais je le sais

A 2 nous surveillerons la terre
Sur notre étoile Nous regarderons
Nos êtres chers
Et nous irons jusqu’au bout de leur rêve
Et nous accomplirons ce qu’on devait faire

J’aimerais m’envoler avec les ailes d’un ange
J’aimerais que tu m’emmènes loin là-bas
Toi, Moi, Nous
Nous irons jusqu’au bout

Nos étoiles nous guideront
Vers nos rêve les plus chers
Nos étoiles Iront
Au-delà de nos rêves
Et Nous mènerons vers un autre ciel

Peut-être qu’un jour nous nous rencontrerons
Et pour toujours nous serons liées
Jamais plus nous nous séparerons

Avec tes ailes tu nous feras lever au ciel
Avec mes yeux on verra un monde merveilleux….

~16

Tu m’donne un oui,
Tu m’donne un non.
Un jour, tu m’souris.
Un autre jour, tu m’fais plus un son

Moi j’comprend plus,
J’peux pas te lire
T’es toujours entrain de rire
Mais là, Je n’ai pas su.

Toi, tu sais ce que je ressens
Mais j’suis pas ton genre !
Et moi j’te dis et alors ?
Ca t’empêche pas d’m’aimer

T’es toujours hésitant,
Moi j’essaye de noyer mon chagrin en t’oubliant
Seulement, tu reste présent
Derrière, devant, à côté, collé, distant.
Mais il y a toujours une pensée, un regard, un sourire pourtant.

Qui m’a toujours été adressé.
Aujourd’hui, je t’ai vu
Rougeurs aux joues, un sourire intimidé
Lorsque j’me suis retournée

~17

Je te regarde partir loin
Si loin de moi.
Dans un royaume lointain,
Pas à pas.
Le ciel pleure,
Notre séparation.
Et c'est dans la peur,
Que cette émotion,
Vient troublé,
Mon monde.
Ton regard éveillé,
Me sonde,
Mon coeur,
Mes sentiments.
Sans s'inquiété de l'heure,
Du temps,
Qui passe si rapidement.
Le ciel pleure,
Et mes larmes coulent.
Je souffre de te voir,
T'éloigné de moi.
Ce soir,
Mon roi,
Cette nuit,
Je prend une décision,
Et je te suis,
Avec le ciel noir,
Et sa lune merveilleuse,
Qui m'éclair,
Dans ma destinée périlleuse...

[Le fond, c'est oi qui l'ai fait!]