Lycée-Akatsuki : Nouvelle génération
Bienvenue à tous au Lycée Akatsuki !
L'administration est heureuse de vous accueillir.
N'oubliez pas de vous présenter à l'accueil et de lire correctement le règlement écrit dans le carnet qui vous sera distribué.

Bon Rp Wink !
Lycée-Akatsuki : Nouvelle génération
Bienvenue à tous au Lycée Akatsuki !
L'administration est heureuse de vous accueillir.
N'oubliez pas de vous présenter à l'accueil et de lire correctement le règlement écrit dans le carnet qui vous sera distribué.

Bon Rp Wink !
Lycée-Akatsuki : Nouvelle génération
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Lycée-Akatsuki : Nouvelle génération


 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion

 

 La mort nous attend tous au tournant...

Aller en bas 
3 participants
AuteurMessage
Dragan Ashitori
Newbie
Dragan Ashitori


Messages : 78
Date d'inscription : 24/11/2012
Age : 29
Localisation : Je parcours actuellement l'Imagination

La mort nous attend tous au tournant... Empty
MessageSujet: La mort nous attend tous au tournant...   La mort nous attend tous au tournant... Icon_minitimeLun 17 Déc - 21:25

Je m'étalai de tout son long sur mon lit. La chambre 18 était comme toute les autres chambres du Lycée: classique, mais chaleureuse. Les murs, exempts de toute décoration, semblaient hurler leur désir de personnalisation, bien que leur couleur bleu ciel répandait une aura rassurante dans la pièce. Lorsque j'étais entré ici pour la première fois, le lit à baldaquin qui m' était réservé était placé contre le mur, et la première touche personnelle que j'avais apportée avit été de le déplacer pour qu'il soit en-dessous de la fenêtre. La nuit, la lumière de la lune pénétrait à l'intérieur de la pièce et venait appaiser mes rêves, qui n'étaient pas toujours calmes... Je passai un doigt distrait sur le croissant de ma cicatrice. Le songe le plus récurent était celui où je revoyais le jour ou j'en avais hérité. Cette terrible nuit me hantait toujours, même autant d'années après.
Je me relevai en soupirant. C'était à chaque fois la même chose: dès que je mettais un pied dans mon espace, je me sentais inexorablement attirré vers mon lit, et ce même si j'étais en pleine forme! Je chutais, et je restais sans bouger pendant quelque minutes. Ce lit avait une emprise absolument terrifiante sur moi...
Je me levai et je me dirigeai vers le petit bureau qui se dressait à côté de ma penderie. Je m'y assit et je commençai à lire le journal que j'avais acheté le matin même. La une était bien triste, hélas! Claus avait encore frappé! L'article, court mais précis, était très alarmant:

Une nouvelle vague de meurtres touche la ville. Six victimes ont été retrouvées mortes dans tout les coins de la ville. Toutes portent la marque de Claus, qui semble s'agiter de plus en plus ce mois-ci, faisant une victime par jour. Il semblerait que Claus ait trouvé un certain intérêt à garder des trophées de ses victimes. Effectivement, il manque un membre à chacune des victimes. La langue pour une, l'oreille gauche pour une autre. Le nez, l'oeil droit, l'oreille droite, l'oeil gauche, pour chacune des quatre autres victimes. Étrangement, les intestins de toutes les victimes manquent aussi. Claus ferait-il une macabre collection, ou changerait-il sa méthode?

Les meurtres n'avaient pas été divulgués par les autorités auparavant. La police tenterait-elle de nous cacher les faits pour rassurer la population? Il nous est d'avis qu'il est préférable de mettre la population au courant de la situation, vu la gravité de celle-ci. Nous tenons à vous rappeler de ne pas dépasser le couvre-feu de 8h30, afin de minimiser les risques. Quoi qu'il en soit, nous, rédacteurs du journal, vous garderons au courant.


Ma lecture terminée, je posai le journal et entrepris de réfléchir activement à la situation. Pourquoi diable Claus voudrait emporter un membre de ses victimes? D'après le peu qu'on savait sur lui, ce n'était pas vraiment le genre de mec qui collectionnait pour passer le temps. Tout cela ne présageait rien de bon! J'échaffaudai plusieurs théories, mais aucune ne me semblait digne d'un réel intérêt.
Dépité, je tâchai de me calmer, et je lâchai la bride à mon esprit. Mauvaise idée. Parce que dès que je fus totalement concentré sur tout ce qui m'entourait, je commençai à les entendre. Les pensées. De tous les gens du Lycée.
Ne vous méprenez pas! Je suis télékinésiste, pas télépathe. Pourtant, ces deux domaines, bien que différents, se ressemblaient énormément, puisqu'ils avaient tous deux recourt à la force psychique. C'est pour cela que lorsque je me concentrai intensément, j'étais en mesure d'entendre des fragments de pensées. Des fragments, oui. Pas de réflexions cohérentes et suivies, plutôt un mélange des principales préoccupations des autres. Et plus ma concentration était solide, plus le rayon d'action était large. Ce que j'entendais, à l'instant, ressemblait plus à un grincement, comme celui que produirait une radio mal réglée:

*KRRIIIIISSHHH... Claus...KRRIIIIISSHHH...Encore frappé...KRRIIIIISSHHH...un doit l'arrêter! KRRIIIIISSHHH...tué ma soeur! KRRIIIIISSHHH...pèce de monstre! KRRIIIIISSHHH...fait la police?*

Horrifié, je brisai ma concentration en un éclair. Je n'avais absolument aucune expérience en matière de télépathie, et je pressentais que ce n'était pas ma voie. Si je ne me montrais pas plus prudent, mon esprit serait emporté par le flux de pensées et je sombrerais dans la folie. J'avais d'autres projets. Un long soupir s'échappa de mes lèvres tandis que mon index glissait sur ma cicatrice. Résolu, j'attrapai ma veste en cuir noir. Je l'enfilai rapidement et sortis d'un pas rapide. Les couloirs de l'internat étaient déserts, mais ils résonnaient du bruit que faisaient les élèves dans leurs chambres.
Ma démarche souple avalait les mètres. J'avais pris ma décision, et elle était non négociable. Si les autorités compétentes n'étaient pas en mesure d'arrêter Claus, je m'en chargerais moi-même. Ou je mourrais en essayant. Trop de sang avait déjà été versé, et il était temps de mettre un terme aux horreurs de ce psychopathe.
Soudain, je quelque chose me passa par la tête et je me figeai. D'après les différents rapports, Claus mutilait ses victimes en utilisant des griffes, ou du moins une arme s'y apparentant. Il serait donc suicidaire d'aller le confronter sans être armé. Bien sûr, j'avais mon don de télékinésie, mais...mon instinct me conseillait de m'équiper avant de partir.
Je rebroussai donc chemin, et je me dirigeai donc vers la salle de sport. A cette heure-ci, elle était occupée par les élèves membres du club de Kendo. C'était assez problématique. Comment allait-il s'y prendre pour atteindre la réserve où la direction rangeait ses katanas? Je lâchai un énorme juron. C'aurait été tellement plus simple d' "emprunter" celui d'un élève! Hélas, ma victime irait avertir le corps enseignant, et mon plan tomberait à l'eau. Non, le gymnase était ma seule option.
J'approchai du bâtiment en me faufilant à travers les ombres et je m'introduisis à l'intérieur. Les élèves étaient répartis en plusieurs petits groupes, et Pain-sensei les observait, ses étranges yeux en cercles concentriques pleins d'attention. Le mot "bizarre" ne suffisait décidémment pas à décrire cet homme. "Dérangé" conviendrait mieux. Son visage ne laissait transparaître aucune émotion. Drappé de la traditionnelle tenue de l'Akatsuki, un long manteau noir décoré de nuages rouges, il ressemblait presque à...un cadavre.
Il fallait absolument que je trouve un moyen de détourner son attention. Je regardai tout autour de moi. J'avisai deux élèves qui luttaient de toute leur maîtrise de la Voie du Sabre. Ils se trouvaient à l'exact opposé de la porte donnant sur la réserve. Juste derrière eux, plusieurs rangées de sabres de rechange étaient posés contre le mur. Je commençai à sourire. Une vie entière passée à jouer des tours aux autres, ça avait aussi de bons côtés: ça développe l'esprit d'analyse! Tendant mon esprit vers les katanas de bois, je les fis décoller du sol. Les deux élèves furent très surpris, lorsqu'ils durent se positionner dos-à-dos pour lutter contre les assauts soutenus des armes d'entraînement.

-Désolé, les gars, mais je n'avais pas le choix...

Lorsqu'il vit le tumulte que créait la lutte de l'autre côté de la salle, Pain-sensei se précipita pour remettre les choses en ordres, et tous les autres élèves se pressèrent derrière lui pour voir ce qu'il se passait. Je ne laissai pas passer l'occasion: Je sortis de l'ombre et me précipitai silencieusement vers mon objectif. Lorsque je ne fut plus qu'à deux mètres de la porte, j'essayai d'ouvrir celle-ci avec mon pouvoir. Fermée! Terrifié, je m'arrêtai d'un coup en regardant derrière moi. L'attention générale était toujours fixée sur les deux élèves. Pain-sensei tentait maintenant d'immobiliser les sabres, que je faisais toujours bouger avec mon esprit. Je me concentrai alors sur la porte. Je projetai violemment mes pensées contre la serrure. Au bout d'une poignée d'interminables secondes, j'entendis un déclic. Soupirant de soulagement, je pressai la poignée et m'engouffrai dans la réserve. Juste à temps. Visiblement, Pain-sensei en avait eu marre de jouer, et il avait attrappé les élèves par le col de leur kimono pour les mettre hors de portée des katanas. Juste avant de refermer la porte derrière moi, j'eus le temps de le voir lever les bras et de dire de sa voix grave:

-Shinra Tensei!

Ce fut le chaos total. Les armes d'entraînement volèrent en éclat et les élèves qui étaient trop proches de leur professeur fur violemment rejetés en arrière.
Poussant un soupir de soulagement, je m'appuyai contre le battant pour reprendre mon souffle. Je restai ainsi quelques instants, mais personnes ne semblait venir vers là, et j'entendais les échos du cours qui avait repris. La lueur du jour entrait par une petite fenêtre, et on y voyait encore relativement clair. A l'autre bout de la pièce, il y avait une sortie de secours, uniquement ouvrable de ce côté-ci.

*Flûte!* me dis-je. *Si j'avais su, je serais passé par la en utilisant la télékinésie!*

Soupirant de frustration, j'entrepris de chercher ce dont j'avais besoin. Après quelques minutes de préparation, j'avais tout ce dont j'avais besoin. J'avais emporté un set de kunaïs et de shurikens, ainsi qu'un katana simple mais solide. Et bien affûté. Enfin prêt, je sortis du gymnase par la sortie de secours. Je regardai autour de moi, pour être sûr que la voie était libre. La cour était déserte. Il ne restait plus qu'un seul obstacle entre moi et la ville: les gardiens de la grille. J'allais avoir besoin de toute ma concentration pour les abuser. J'allais devoir passer par-dessus le mur. C'était un tour que je n'avais pas beaucoup pratiqué, et il me fallut du temps pour parvenir au résultat escompté. Au bout d'une interminable angoisse, je sentis mon corps décoller du sol. J'avais réussi! J'avais utilisé la télékinésie sur mon propre corps! J'étais en train de vol... m'écraser.
Tout à mon excitation et à ma fierté, j'avais brisé ma concentration et j'avais chûté sur trois mètres de hauteur. Jurant en silence, je me remis sur mes pieds et me concentrai à nouveau. Je réussis plus vite qu'à mon premier essai, et je me retrouvai vite de l'autre côté du mur. Je remis le fourreau de ma lame en place et je me dirigeai vers la ville qui baignait maintenant dans la lumière orangée du crépuscule. Je me retournai plusieurs fois pour vérifier que je n'étais pas suivi, mais je ne vis rien. A un certain moment, je crus apercevoir un éclat platine près d'un arbre sur le côté de la route, mais ce n'était que la lumière du jour déclinant qui avait accroché une goutte d'eau sur les feuilles du végétal.
Lorsque je parvins à la Grande Avenue de la ville, tout était désert. Une horloge sonna au loin, et je comptai huit coups. Plus qu'une demi-heure avant le couvre-feu. J'étais en avance. Je m'assis en tailleur contre un mur, de sorte à ne pas offrir d'angle mort à un éventuel agresseur. Il ne restait plus qu'à attendre. J'espérais juste que je n'avais pas été suivi...


Le soleil était maintenant couché, et il était près de 21h. Rien n'avais bougé depuis mon arrivée. Les ombres s'étiraient paresseusement de tous les côtés, recouvrant tout petit à petit. Un silence de mort régnait sur l'Avenue. Je serai la poignée de mon katana. Il était trop tard pour reculer, maintenant.

-Viens, Claus, murmurai-je. Viens me chercher!


------------HRP------------

Voilààààà, je déclare ouverte la chasse à Claus! Ou la chasse aux élèves, ça dépend du point de vue x)
Oui, je sais, les neuf dixièmes de l'action ne se passent pas sur la Grande Avenue (et encore, je suis généreux!). C'est tout simplement pour planter le décor ( en ce qui concerne Dragan, en tout cas!). J'ai pensé que c'était mieux de mettre le RP ici, puisque c'est en ville que va se dérouler la suite des opérations anti-Claus! C'est bien sûr libre ( vous aurez remarqué les allusions que je fais à une filature...), et si vous voulez vous joindre à moi, je vous en prie! ^^
PS: j'ai utilisé la première personne du singulier plus de vie à cette aventure...
Revenir en haut Aller en bas
Yu-Ri/Arkida
Newbie
Yu-Ri/Arkida


Messages : 57
Date d'inscription : 25/10/2012
Age : 29

La mort nous attend tous au tournant... Empty
MessageSujet: Re: La mort nous attend tous au tournant...   La mort nous attend tous au tournant... Icon_minitimeMar 18 Déc - 8:05

Yu-Ri se promenait dans les ruelles qui s’assombrissaient au fur et à mesure que les ténèbres envahissaient la lumière. Il y avait passé l’après-midi sans s’ennuyer. Il avait même fait le tour de la ville. Il pouvait marcher pendant des heures sans s’arrêter tellement qu’il était émerveillé par cet endroit. Ce lycée, tout ce monde était une nouvelle expérience extravagante. Le seul problème…un tueur en série se promenait dans les rues, tel un prédateur en quête de belles petites proies toutes fraîches. Justement, il avait fait un massacre ces derniers jours. Ce tueur lui rappelait le grand dragon noir qui avait ravagé son passé. Il ressentait encore ses crocs s’enfoncer dans sa nuque qui le firent frissonner. Il marcha encore quelques heures dans les rues, qui se vidaient rapidement, pas parce que ça lui tentait…mais parce qu’il s’était encore perdu…Heureusement, après un certain temps, il retrouva son chemin vers la Grande Avenue. Épuisé par cette journée d’exploration, il s’assit contre un arbre sur le bord de la route. Avec ses vêtements foncés il se camoufla facilement contre l’arbre. Seule sa tignasse et ses yeux brillaient à la lumière qui avait presque disparue dans les ténèbres de la nuit. Il avait entendu parler d’un couvre-feu, mais…il ne se souvenait plus de l’heure…Sur ce, il resta attentif aux moindres détails grâce à ses sens surdéveloppés. Il entendait le chant de la brise qui faisait danser ses cheveux. Il sentait l’écorce de l’arbre qui lui touchait le dos et l’odeur de la sève qui coulait en dessous. Soudain, il entendit des pas s’approcher de lui. Il retint sa respiration en restant le plus silencieux possible. Était-ce Claus? Impossible! Allait-il être sa prochaine proie? Au moment où il entendit les pas le dépasser, il se risqua d’ouvrir un œil. Heureusement, ce n’était pas Claus, mais un élève du lycée…un élève? À cette heure-ci? Le jeune homme portait une veste en cuir noir et un katana dans le dos. Ses cheveux noirs lui rappella quelqu’un qu’il avait vue à son premier jour. Mais bien sûr! C’était Dragan! À cette heure-ci? Et avec un katana? Il ne se rappela pas d’en avoir vue un la première fois. Il le regarda marcher, la tête inclinée de côté comme un chien qui essaye de comprendre quelque chose. Il avait tout d’un coup un mauvais pressentiment et pour une raison obscure, il sentit sa main lui picoter. Du platine en liquide sortait des pores de sa peau en formant un petit lac dans sa main. Ensuite, ce lac se modela et prit la forme d’un kunaï . Devant ce mini spectacle, Yu-Ri fronça les sourcils en fixant cet objet puis regarda l’autre continuer sa marche. Il regardait le ciel sombre et menaçant. Il sentait le danger guetter autour, prêt à frapper. Le jeune garçon se leva et suivit Dragan à pas de loup, dans l’ombre…

Il continua à le suivre jusqu’à ce dernier s’adossa contre un mur pour finalement s’assoir, une main sur la poigné de son katana. Lui, caché derrière un arbre, le fixait d’un regard dubitatif en attendant la suite. Il essayait de le comprendre…sans résultat. Il lui semblait attentif et prêt à quelque chose…mais quoi? Il voulait lui demander par curiosité, mais il n’en fit rien…il était trop timide. Il se contenta de rester accroupi, une main sur son sac, l’autre contre son corps en serrant le kunaï en platine, avec ses deux billes platines qui brillaient dans le noir…
Revenir en haut Aller en bas
Pein/???
Admin
Pein/???


Messages : 207
Date d'inscription : 11/11/2009
Age : 29
Localisation : Inconnue. (I am... >_> ... <_< ... INCOGNITO! =O ... Bwéhé... *w*)

La mort nous attend tous au tournant... Empty
MessageSujet: Re: La mort nous attend tous au tournant...   La mort nous attend tous au tournant... Icon_minitimeDim 6 Jan - 18:58

*************Claus*************

Il venait juste de faire sa huitième victime du mois et le sang ruisselait encore de ses griffes étincelantes après qu'il eut prélevé et entreposé une pièce de sa victime. Il errait à présent dans les rues désertes de la ville, encore insatisfait de son meurtre. La pauvre, elle avait eu si peur qu'elle en avait perdu conscience. C'est vrai que l'hémorragie n'avait pas dû aider, mais quand même, c'était un peu tôt pour en finir. Quel gâchis, il n'avait même pas eu le temps de jouer... Peut-être trouverait-il un malheureux inconscient ayant bravé les interdits cette nuit... Il ne le tuerait pas, oh ça non. Il avait déjà tué une fois cette nuit et il ne voulait pas gâcher ses plans. Espérons juste qu'il serait assez résistant pour endurer ses jeux sans en perdre la vie...

-Viens, Claus, Viens me chercher!

Décidément, c'était son jour de chance! Il se tapit dans l'ombre.

*Voyons, à quoi jouerons-nous?*

-Ah! Je sais!

Dit-il tout bas, passant sa langue sur ses dents aiguisées. Il se redressa alors, ne se souciant pas d'être vu et marcha droit vers le jeune, ses bottes résonnant sur les dalles, sourire en coin. Son aura était sombre, terrifiante à vous glacer le sang et vous figer sur place. Il s'arrêta devant son futur 'camarade de jeu', presque nez-à-nez, ses vêtements sombres dissimulant ses traits, mis à part son oeil rouge flamboyant.

-Te chercher? Dit-il d'une voix amusée. -Pour aller où? À L'hôpital? À la morgue?

Avant qu'il n'aie eu le temps de répondre, il le fit taire en mettant vivement l'une de ses griffes métalliques sur sa bouche.

-Shh... Pas un mot! Il se trouverait que ce soir, j'aie déjà atteint mon quota de victimes; quel chanceux, tu vivras, ce soir...

Il retira alors sa griffe et recula dans l'ombre, se faisant invisible à nouveau. Sa voix résonna aux alentours lorsqu'il se remit à parler d'une voix changée, excitée au delà de la raison.

-Non, ce soir, il n'y aura plus de morts, ce soir... Nous jouerons!

C'est alors qu'il sortit de la noirceur et en quelques secondes à peine, il fut sur le jeune homme, lui assénant un coup de griffes au visage, effleurant seulement la joue, faisant perler une goutte de sang qu'il recueillit avec sa griffe. Il recula alors et regarda celle-ci glisser le long de sa griffe, tête penchée sur le côté, l'air sérieux. Une menace sous-entendue, il frapperait plus fort si son 'compagnon' n'acceptait pas de jouer. Il l'avait effleuré avec précision pour bien lui faire comprendre qu'il ne le manquerait pas s'il refusait de coopérer. Puis il se redressa soudainement, comme s'il avait eu un éclair de génie, son horrible sourire s'affichant de nouveau sur son visage.

-C'est toi le chat!

Dit-il en chantonnant, se mettant à courir et sauter un peu partout, donnant une chance au jeune homme. Après tout, si celui-ci n'arrivait pas à l'atteindre, il n'aurait pas l'occasion de le blesser une autre fois. Voilà quelques temps déjà qu'il sentait une présence près d'un arbre, il s'adressa alors à celle-ci.

-Toi là-bas, derrière l'arbre, joins-toi à nous.

Il fit une pause, s'arrêtant brièvement de courir pour dire:

-À ce qu'on dit, plus on est de fous, plus on rit!

Il recommença alors à courir en ricanant sombrement...
Revenir en haut Aller en bas
https://lycee-akatsuki.forumactif.org
Dragan Ashitori
Newbie
Dragan Ashitori


Messages : 78
Date d'inscription : 24/11/2012
Age : 29
Localisation : Je parcours actuellement l'Imagination

La mort nous attend tous au tournant... Empty
MessageSujet: Re: La mort nous attend tous au tournant...   La mort nous attend tous au tournant... Icon_minitimeLun 7 Jan - 20:56

Le vent soufflait doucement, et son léger mugissement ne parvenait pas à troubler la tranquilité qui régnait sur la Grande Avenue. Aucun son ne venait s'intercaler; un calme impérial régnait aux alentours. J'étais toujours assis en tailleur contre le mur, et de ma position, je voyais tout ce qui m'entourait. Mon esprit était étendu sur une distance de plusieurs dizaines de mètres, réduisant encore les chances de succès d'une éventuelle attaque surprise. Tout était en place, et il était impossible que je me fasse surprendre.
Pourtant, j'étais inquiet. Plusieurs mètres au-delà de mon cercle psychique se dressaient quelques arbres. Depuis un moment déjà, il me semblait percevoir une présence, discrète, mais incontestable. Craignant qu'il ne s'agisse d'un piège, je n'avais pas bougé d'un millimètre, et je n'avais laissé paraître aucun signe montrant que j'avais remarqué que j'étais observé. Silencieux comme une tombe, je restai parfaitement immobile, attentif à tout ce qui se déroulait autour de moi.
Le soleil était maintenant couché, et il était près de 21h. Rien n'avais bougé depuis mon arrivée. Les ombres s'étiraient paresseusement de tous les côtés, recouvrant tout petit à petit. Je serai la poignée de mon katana. Il était trop tard pour reculer, maintenant.

-Viens, Claus, murmurai-je. Viens me chercher!

Le vent cessa brusquement de souffler, comme une réponse muette à mon invitation. Sur la Grande Avenue, tout se figea. Les ombres parurent grandir encore, comme désireuses de tout avaler. Sans aucun avertissement, les ténèbres engouffrèrent les lieux, les plongeant dans une atmosphère lugubre aux accents menaçants. C'est alors que retentit le son de bottes foulant le sol de pierre. Un ricannement retentit, brisant la bulle de silence qui m'entourait depuis mon arrivée.
Réactif, je sautai sur mes pieds, dégainant mon katana dans le même mouvement. Le bruit provenait d'une zone d'ombre, juste en face de moi. Je frissonnai malgré moi. Je n'avais jamais entendu un tel rire! Tout ce qu'on y décelait, de près ou de loin, était de la cruauté à l'état brut.
Ma lame pointée vers l'ombre, je restai sur mes gardes, prêt à m'écarter au moindre scintillement suspect. C'est alors qu'il fit son apparition.
Silhouette ténébreuse épousant l'obscurité, Claus surgit dans mon champ de vision, sans faire le moindre effort pour se dissumuler. Déterminé, je resserrai ma prise sur mon arme, prêt à en découdre. C'était l'occasion rêvée! L'opportunité de mettre une fin définitive aux méfaits de ce malade m'était offerte, et je ne comptais pas la laisser filer!
Ce n'est que lorsque Claus franchit mon rayon psychique que je compris l'étendue de la folie que je venais de commettre. Claus était plus qu'un simple boucher. Son aura, noire comme la nuit, était terrifiante. Je me mis à trembler, incapable de contenir mon épouvante. Ca me fait mal de l'admettre, mais il s'agit pourtant de la pure vérité: j'étais terrifié! Mon corps ne me répondait plus, pas plus que mon esprit, qui semblait avoir perdu toute faculté télékinésiste. J'étais totalement impuissant. Mon bras tenant le katana retomba mollement sur mon flanc droit.
Claus continuait d'avancer vers moi, un sourire sadique plaqué sur le visage. Contrairement à ce que je pensais, il ne s'arrêta pas avant d'être presque nez à nez avec moi. Pour toute réponse à l'invitation que j'avais eu la stupidité de proférer plus tôt, il ne dit que ceci, l'amusement le plus total aisément perceptible dans sa voix:

-Te chercher? Pour aller où? A l'hôpital? A la morgue?

Je voulut répondre. Je ne savais pas quoi dire, la panique ayant totalement pris le contrôle de mes pensées. Claus, néanmoins, n'en entendait pas de cet avis: il posa un doigt sur mes lèvres. Seulement, ce n'étaient pas des doigts. Il s'agissait de griffes, mortellement affutées et poisseuses du sang de la dernière victime du tueur. C'est à peine si j'osai bouger un cil. Il était tout proche de moi, mais j'étais incapable de déceler ses traits, dissimulés par un capuchon noir. Tout ce qu'on voyait, sous les ombres de son visage, c'était la lueur malveillante qui brillait dans un oeil rouge comme le sang des victimes.

-Shh... Pas un mot! Il se trouverait que ce soir, j'aie déjà atteint mon quota de victimes; quel chanceux, tu vivras, ce soir...

Lamentable jusqu'au bout, je remerciai tous les dieux de ma connaissance. Mes réjouissances, hélas, ne furent pas de très longue durée. Rapide comme l'éclair, Claus s'écarta vivement de moi et se tapit dans l'obscurité une fois encore. Sa voix résonna sur l'Avenue déserte, glaciale comme la mort elle-même:

-Non, ce soir, il n'y aura plus de morts. Ce soir... Nous jouerons!

Avant que je n'aie le temps de réagir, il fut sur moi: sa main se dressa et m'ouvrit la joue. Le sang perla sur ma joue, et Claus en recueillit une goutte pour la regarder glisser le long de sa griffe, ses instincts psychopathes étant avivés par l'odeur âcre du fluide. Il pencha la tête sur le côté, comme un enfant qui attendrait une explication, et me dévisagea de sous son capuchon. L'avertissement était clair comme du cristal: soit j'entrai dans sa danse, soit j'en payerais le prix fort. Son horrible sourire plaqué sur le visage, Claus s'écria, frappé d'un amusement absolu:

-C'est toi le Chat!

Et le jeu de la mort débuta. Claus courrait et sautait dans tous les sens, m'encourageant à le poursuivre. Recouvrant une infime parcelle de ma détermination initiale, je levai ma lame et fonçai droit sur l'ennemi... qui s'était déjà volatilisé. Je fis volte-face. Claus était derrière moi, riant à gorge déployée. Je tentai alors d'utiliser la télékinésie pour immobiliser le tueur. Mais celui-ci, insaisissable, avait déjà bougé. J'étais sidéré! Ce fou était tellement rapide que même mon esprit n'arrivait à le suivre!
Je sentais le désespoir se frayer un chemin dans l'ouragan de mes pensées. Ses griffes, aussi implacables que celles de Claus, emprisonnaient petit à petit mon coeur dans une étreinte glacée, insurmontable. Mortelle.
L'assassin, toujours aussi amusé, ne faisait aucun effort pour cacher son excitation. Je continuai de le pourchasser, et chaque ruée était soldée par un échec, agrémenté d'un sarcasme.
Soudain, Claus regarda en direction de l'arbre qui m'inquiétait un peu peu plus tôt et déclara quelque chose qui me donna l'impression que mon sang s'était figé dans mes veines:

-Toi là-bas, derrière l'arbre, joins-toi à nous.

Horrifié, je stoppai mon assaut. Quelqu'un m'avait donc suivi! J'étais certainement le plus grand crétin vivant sur Terre. J'avais fait une erreur, et j'en payais maintenant le prix fort. Mais ma stupidité avait entraîné un innocent dans l'enfer de la confrontation contre le fou furieux qui tenait toute la ville dans le creux de ses griffes! Claus poursuivait:

-À ce qu'on dit, plus on est de fous, plus on rit!

Scrutant à mon tour les ténèbres, je vis quelque chose qui me désola. A côté du tronc de l'arbre le plus proche, deux sphères argentées brillaient doucement, répandant une faible lueur couleur platine.
Yu-Ri...
Revenir en haut Aller en bas
Yu-Ri/Arkida
Newbie
Yu-Ri/Arkida


Messages : 57
Date d'inscription : 25/10/2012
Age : 29

La mort nous attend tous au tournant... Empty
MessageSujet: Re: La mort nous attend tous au tournant...   La mort nous attend tous au tournant... Icon_minitimeMar 8 Jan - 9:24

Yu-Ri l’observait. Le brave à l’épée était assis en tailleur. Immobile, le dos droit et la peau pâle, telle une statue de marbre. Il resta ainsi, silencieux, pendant de longues minutes, sans bouger d’un poil. Seuls ses yeux de rubis bougeaient légèrement, surveillant les alentours. Il le trouvait très impressionnant. Il se demandait même s’il ne l’avait pas déjà repéré. Quelque chose d’autre attira son attention. Il sentait une présence. Une présence qui n’annonçait rien de bon. Une aura noire et ténébreuse sortait de chacun des pores de cet être, comme le dragon noir. La peur commençait à lui serrer la gorge. Il n’était pas seul à l’être. Les arbres retenaient leur souffle, les oiseaux, assez courageux pour assister à la scène, se cachaient derrière les branches. Même le vent n’osait point murmurer la présence de la menace. La nature se taisait, soumise par la peur qu’imposait l’arrivant. Sans aucun doute…….c’était Claus. Il ne pouvait dire s’il était humain. Il chercha au plus profond de son âme, sans résultat. Il ne voyait qu’une silhouette noire sous une capuche aussi sombre, sous laquelle se cachait un œil rouge comme le sang frais et un grand sourire carnassier, d’où s’échappait un rire à vous glacer le sang! Il pouvait lire la terreur sur le visage du jeune homme qui était sur ses gardes, l’arme à la main.

-Te chercher? Pour aller où? À l’hôpital? À la morgue?

Ils se trouvaient face à face. Il ne voyait que le dos de celui-qui-vous-trouve. C’est alors qu’il vit ses énormes griffes affutées et tachées par le sang de ses proies.

-Shh... Pas un mot! Il se trouverait que ce soir, j'aie déjà atteint mon quota de victimes; quel chanceux, tu vivras, ce soir...

*Nom…d’un…chien…*

-Non, ce soir, il n'y aura plus de morts. Ce soir... Nous jouerons!, dit-il en se cachant dans l’ombre, à nouveau.

-Allez Yuyu! Joue avec moiii!!Pourquoi tu ne veux pas jouer avec ton frère! Tu ne peux pas jouer avec elle! C’est une humaine! Les humains sont misérables et inférieurs à nous! Ils ne peuvent pas nous comprendre! À moins que…TU SOIS DEVENU UN DES LEURS?!?
Une fille à la silhouette délicate était suspendue par ses cheveux d’or. Sa jolie robe blanche était trempée par ses larmes provoquées par cette atrocité.
-Yu-Ri! Yu-Ri! Fait quelque chose!
-Comme c’est mignon! Tu l’as veux? Tu l’aimes mieux que moi? BAH VIENS LA CHERCHER!!
-YUUU-RIIIIII!!!!


Son corps entier hurla de douleur. Il se trouvait à quatre pattes au sol, le souffle court. Lui aussi terrifié. Sa cicatrice lui grugeait la nuque et il avait la nausée.

-C’est toi le chat!

Il voulait bien jouer de sa flûte pour calmer ses douleurs, mais… ce n’était vraiment pas le moment! Il essaya de se calmer un peu. C’est à peine s’il entendait le vacarme derrière lui.

-Toi là-bas, derrière l'arbre, joins-toi à nous.

Il se figea. On l’avait repérer. Que devait-il faire? Courir? Rester là? Se battre? Il s’était promis de ne plus jamais se battre, mais il n’avait pas d’autres choix. Peut-être était-ce une chance. Une chance de combattre sa plus grande peur sous une autre forme. Qui sait?

-À ce qu'on dit, plus on est de fous, plus on rit!

Il respira un bon coup. Chassant les mauvais souvenirs, en se concentrant sur le moment présent. Comme lorsqu’il faisait durant ses combats. Il déposa son sac contre l’arbre et sortit silencieusement de sa cachette, le kunaï à la main. Il avait effacé toute peur sur son visage pour ne pas montrer de faiblesse face à l’ennemi et donner du courage à son coéquipier. Prêt à agir, la main serrer sur le manche de l'arme qui brillait, il regardait droit dans les yeux de l'ennemi avec détermination. Le seul problème…Il ne s’était jamais battu sous cette forme et ce n’est pas un petit kunaï qui fera du ravage. À moins que…
C’est alors que la danse de la mort avec celui-qui-vous-trouve commença. Claus, agile comme il était sautait, esquivait les attaques et apparaissait même derrière eux sans même le remarquer. Au début, Yu-Ri ne faisait qu’essayer de suivre ses mouvements en frappant dans le vide. Il n’était pas du tout habitué de se battre de cette façon. Même s’il était rapide sans jamais s’essouffler, le tueur démoniaque avait toujours de l’avance. Sans oublier que le jeune dragon manquait souvent de rentrer dans son coéquipier. Il s’arrêta de faire le chat pour penser à une autre tactique. Il fixait, analysait chaque mouvement (du mieux qu’il pouvait) de celui-qui-vous-trouve. Il se positionna, près à sauter et d’un coup, donna une énorme poussée sur ses jambes pour l’atteindre d’un seul coup. Même encore là, il se tenait juste derrière lui dans cette course folle et lorsqu’il changeait de direction brusquement, il lui lança le kunaï près de la tête en faisant apparaître deux autres dans ses mains pour le prochain lancer et ainsi de suite. Il devait, cependant, faire attention à ne pas toucher Dragan. Et même après ça, il n’arrivait pas à l’atteindre, mais il était au moins sur ses talons…
Revenir en haut Aller en bas
Pein/???
Admin
Pein/???


Messages : 207
Date d'inscription : 11/11/2009
Age : 29
Localisation : Inconnue. (I am... >_> ... <_< ... INCOGNITO! =O ... Bwéhé... *w*)

La mort nous attend tous au tournant... Empty
MessageSujet: Re: La mort nous attend tous au tournant...   La mort nous attend tous au tournant... Icon_minitimeMer 5 Fév - 5:36

Après quelques minutes de poursuite, le garçon platine changea de tactique, se rapprochant maintenant un peu plus du but.

-Ahhhh, il était temps! Ça commençait à être un peu répétitif, à la fin.

Dit Claus d'une voix moqueuse.

-Vous ne souhaiteriez tout de même pas que je m'ennuie, n'est-ce pas?

Il mit l'emphase sur ces derniers mots, qu'il prononça comme une menace.

-Allez, un peu plus, d'énergie, les amis! Je sens que vous ne participez pas totalement à fond... N'êtes-vous donc pas... Amusés, par notre jeu?

Siffla t-il, suspicieux, et quelque peu énervé.

Il continua de faire tourner en bourrique les deux jeunes pendant quelques moments encore et puis s'arrêta brusquement, en ayant assez d'attendre. Claus n'était pas un joueur patient... Un kunai l'atteint alors, effleurant le côté droit de son visage, faisant tomber quelques fibres de bandages, coupant au travers du capuchon. Ses épaules tressautèrent d'un rire silencieux et il parla d'une voix rauque, étirant péniblement les mots:

-C'est... À...

-MON TOUR!


Sa tête penchait vers l'arrière, révélant son oeil rouge qui fixait Yu-Ri d'un regard fou. Son sourire carnassier s'étira alors lentement. Il se redressa, réajustant tranquillement ses bandages, sifflotant quelque mélodie morbide inconnue puis laissa s'échapper un grognement de satisfaction. Son tour était venu... Ses muscles se tendirent, prêt à bondir...

Puis il se dissimula de nouveau dans l'ombre, rampant silencieusement sur le sol vers sa cible, comme un prédateur.

Il étira sa main aux griffes acérées, lentement, très lentement, vers la cheville de celui-ci...

Et la referma d'un coup sec, murmurant sombrement:

-Tou...ché! Heh heh.

Il relâcha rapidement sa prise sur le membre, ayant évité de serrer trop fort pour sectionner les tendons ou lacérer la chair. Après tout, un partenaire de jeu qui peu courir, c'est beaucoup plus intéressant, bien plus... Amusant.

Il revînt se placer entre les deux jeunes hommes de nouveau, prêt à commencer un autre tour.

[HRP: Woot-woot! J'ai retrouvé l'inspi pour Claus! Vive la musique. *_*]
Revenir en haut Aller en bas
https://lycee-akatsuki.forumactif.org
Contenu sponsorisé





La mort nous attend tous au tournant... Empty
MessageSujet: Re: La mort nous attend tous au tournant...   La mort nous attend tous au tournant... Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
La mort nous attend tous au tournant...
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Le début du commencement d'une nouvelle vie (super le titre xD) [Avis a tous!! ><]
» En dehort de l'internat, une journée au parc d'attraction, sensation forte c'est pour nous
» Sucré: le paradis pour le gamin rouge et l'enfer pour le trouillard mauve ainsi que le pervers bleu! (PV-Akasuki-et tous le monde!)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Lycée-Akatsuki : Nouvelle génération :: La ville :: La grande avenue :: Rues et ruelles-
Sauter vers: