La douceur adoucis, mais la colère reigne (HRP Kiz) Chambre 55

Lorsqu'il pris doucement Emka, cela la surpris, mais qu'elle était cette expression c'était bien la première qu'elle le voyait aussi froid avec elle, cela l'inquiètait, mais lorsqu'il sortit de la chambre, Cela la surpir encore plus. Les élèves les regardaient étrangement. Les filles bavardait comme quoi Emka était de retour, les garçon eux n'en revenaient pas de ce que Kiz était entrain de faire.

Emka savait pertinemment que les chambre n'était en aucun cas mixtes et que si cela s'apprenait SOn demi-ange aurait de gros problèmes, mais comme il le lui dit tout le temps, il s'en fou des règles. D'un coup de pied violent il ouvrit sa porte. Posant délicatement Emka sur un fauteuil brun très doux.

IUl partit refermer la porte sous lôeil inquiet de la jeune fille. Il n'avait toujours pa sdit un mot pourquoi? pourquoi être aussi distant ce disait-elle. Mais elle n'aurai surement pas la réponse. elle voulait le savoir, elle se leva doucement du fauteil et marcha d'un pas lent et tremblant ( suite au choc de tout a l'heure). elle posa un main sur son torax, demandant timidement.

-Pour...pourquoi es-tu distant? Pourquoi ne dis-tu pas un seul mot?

elle s'inquiètait de sa réaction, car elle savait qu'après avoir vu un vampire, seul un fou oserait se mesurer à lui, elle pensait donc que sa réaction restait imprévisible. Elle fit des aller et retour, pour se divertir l'esprit, lorsqu'elle marcha sur quelque chose de froid. Elle baissa les yeux et vit un bout d'un mirroir casser.

Elle voulu le prendre mais ce fit un toute petite entaille, pas trop grave, mais quelque gouttes tomba sur le sol.

-ha Flûte, je me suis coupée...

Soudain elle se rappela de ce qui c'était passer avec son sang a l'infirmerie, elle tourna vite en drection de Kiz et serra sa main libre autour de la plaie afin d'eviter au sang de couler et pour masquer un maximum l'odeur. Qu'allait-il se passer à présent?

-Pour...pourquoi es-tu distant? Pourquoi ne dis-tu pas un seul mot?

Elle s'était avancée dans le noir et avait posé sa petite main tiède sur mon torse. Je baissai la tête pour la regarder, moi qui voyait parfaitement dans cette obscurité totale. Distant, moi? Ce n'était pas le mot. J'étais plutôt fermé et en colère.

Mais avant que je puisse répondre, elle se pencha et je la suivit du regard, interdit, et prit entre ses doigts un bout de miroir, qui brillait légèrement. Ledit miroir que j'avais éclaté de mon point lorsque j'étais revenu d'un coup, fortement tenté de boire le sang d'un étudiant. Les débris et le sang de mes jointures m'avaient changé les idées, mais je n'avais pas ramassé le gâchis. Non, ces derniers temps, j'avais passé mes journées dans la forêt, sur le toit, ou en ville à faire des folies dangereuses. Mais Emka n'en savait rien, elle était toujours inconsciente...

-ha Flûte, je me suis coupée...

Elle n'avait même pas eu besoin de le dire, je l'avais déjà senti. Ce sang au parfum floral, envooûtant, qui me faisait tourner la tête. Heureusement que j'avais chassé il y a quelques jours de cela, car ça l'aurait pu être très dangereux. Mais ce l'était encore, et sur le coup, mon coeur s'enflamma, brûlant par la colère qui s'emparait de moi.

- Emka, grondai-je en la soulevant par la taille pour la laisser étendu sur le matelas, tu désires vraiment la mort? Je croyais être le suicidaire, entre nous deux...

L'épisode des ciseaux dans l'infirmerie me revint en mémoire mais je la chassai aussitôt. Je pris sa main vivement, respirant profondément ses doigts où perlait de petites gouttes de sang. Mes yeux, fermés pour ressentir pleinement l'effet planneur de ce parfum, se rouvrir, rouge écarlate et parfaitement visible dans le noir. J'ouvris la bouche et me mit à lècher lentement, presque tendrement la coupure. J'étais fou, mais j'étais persuadé qu'elle l'avait fait par exprès. Elle devrait savoir, à cette heure, que chaque fois qu'elle posait ne serait-ce qu'un cheveux sur un objet coupant, il était obligatoire qu'elle se coupe. Et le fait qu'elle ait un vampire pour petit ami n'était vraiment pas des plus pratiques.

Lorsque la plaie commença à se cicatriser, je relâchai sa main, presque dégoûté par moi-même. Je me redressai et lui tournai le dos, nettoyant le sol de ma chambre en 3 secondes et demi, afin qu'elle ne se blesse plus nul part.

- Je ne suis pas distant, Emka... Je suis simplemet prudent. Mais, encore une fois, j'ai échoué...

Je tournai la tête par-dessus mon épaule, la fixant de mon regard rouge sang. Je me volatilisai, apparissant dans son dos, près de la fenêtre, que j'ouvris toute grande, me faisant happé par un vent froid et mordant, qui m'ébourriffa les cheveux. Je pris une grande inspiration et refermai brusquement la fenêtre, replongeant la pièce dans la noirceur. La jeune fille aux cheveux flamboyant n'était pas comme moi et pouvait ressentir les changements radicaux de température. Là, elle devait grelotter. Mais je ne pouvais lui être d'aucun secours, puisque j'étais aussi froid que la glace.

L'instant suivant je fus devant elle, et prit son visage entre mes mains, les yeux toujours rouges, mais le regard un peu plus doux.

- Inutile, voilà ce que je suis. Je ne peux pas te protéger du froid, ni de la noirceur (je lui pointai le miroir) ni de moi-même (je lui montrai son doigts qui ne saignais plus). Je suis en colère parce que tu refuses de voir que je ne suis pas... bien...

La dureté et la gravité de mes paroles furent coupé par mes lèvres qui se plaquèrent contre celles d'Emka. Je la poussai contre le matelas, sans cesser de l'embrasser férocement, mes mains entre mêlées dans ses cheveux dont la couleur rappelait le sang... son sang... ce sang qui m'appelait dans ses veines vivantes et chaudes...

Après m'être coupée, Kiz s'approcha de moi d'un air très sérieux, je commaiçaîs un peu à m'inquièter qu'allait-il me faire? Depuis que ce foutu vampire c'est ramener dans ma chambre, il a carrément tourné de caractère, un peu froid je dois avouer, mais bon, Kiz restera Kiz. et d'ailleur son côté froid lui donne un certain charme, bien que personnellement je préfére quand il rigole.

Emka, gronda-t-il tu désires vraiment la mort? Je croyais être le suicidaire, entre nous deux...

En me disant cette phrase mon coeur ne fit qu'un seul tour car il m'allongea doucement sur le matelat froid. Il prit ma main et regarda les perles de sang coulant le longs de mes doigts, je vis ses yeux prendre une teinte de rouge, ces yeux, de vampires qui me facinaient mais qui m'effryaient à la fois, je ne saurai dire quel sentiment cela me fis lorsque je sentis sa langue lécher avec douceur mon doigt. Il se redressa et me tourna le dos avant de ranger les débris de verre pour éviter une autre coupure de ma part.

Je ne suis pas distant, Emka... Je suis simplemet prudent. Mais, encore une fois, j'ai échoué

Prudent? Je le pensais bien il dois se sentire coupable de n'avoir pas pu s'empêcher de gouter à mon sang. Mais cela ne fait rien pour moi. Car malgré ses instincs de vampire, Kiz restera mon seul et unique amour et cela je suis sûre qu'il a de la pine a se le mettre dans le crâne. Il me dit cette phrase en trounant sa tête par dessus son épaules. Mais ! Ses yeux?! Pourquoi étaient-ils toujours aussi rouge que le sang?

En une fraction de seconde il arriva dans mon dos, il avait ouvert la fenêtre, mais comparé à lui les changement de température, je les sentais et le courrant d'air froid, je le sentis carresser ma peau ce qui me fisa grelotter un peu. il refrma vite la fenêtre et encore une fois avec une rapidité hord du commum il se retrouva devant moi. Il prit mon visage entre ses mains froides, mais pour moi elles n'étaient pas si froides mais brûlante. Brûlantes d'un amour fou. Ses yeux toujours comme des perles de sang mais son visage était plus doux.

- Inutile, voilà ce que je suis. Je ne peux pas te protéger du froid, ni de la noirceur ni de moi-même. Je suis en colère parce que tu refuses de voir que je ne suis pas... bien...

Me montrant le mirroir ainsi que mon doigt tout en me disant cette phrase qui me fis monter les larmes au yeux. Que devais-je dire? que devais-je faire? Il était bête ou quoi? Il faisait exprêt de me dire ces mots pour me blesser?

Avant que je ne puisse dire quoi que ce soit ses lèvres se mirent en contact avec les miennes un baiser plus chaud encore que le cratère d'un volcan en fusion, il m'allongea doucement sur le matelat sans s'arrêter, je passai ma main dans ses cheveux argenté qui me faisais pensé à des étoiles qu'allait-il se passer à présent? J'appuyai le baiser en ajoutant ma langue ce qui j'en suis sûre eu pour effet de suprendre mon tendre amour qui se trouvais au dessus de moi. Je passa mes main frêle sous le T-shirt de mon amour au perle écarlates afin de carresser son dos.

Mon coeur battait à une allure folle, je me demandais ce qui allait ce passe ensuite allionms nous dépasser nos limite ou alors allait-il s'arrêter maintenant en plein bonheur partager?
-

Des illusions, voilà ce qu'Emka se faisait. Je le savais à son coeur qui battait vite dans sa cage thoraxique, et non par la peur, mais par l'excitement ou le bonheur de ma compagnie. Dégoûté, je me déttachai de ses lèvres, me jetant contre le mur opposé au lit qui n'était plus qu'un pauvre squelette de matelas. Je fermai mes paupières, posant deux doigts sur mes yeux, inspirant puis expirant. Comment lui faire comprendre mon tourment? Il n'y avait pas de mot pour ce que je ressentais. Azrielle m'aurait comprise... M'aurait-elle comprise? Vraiment? Qui pouvait comprendre l'esprit torturé qu'était le mien en cet instant précis? Peu de gens, sans aucun doute. J'avais cet étrange impression d'implosion et d'explosion. J'avais envie de saccager la planète entière comme j'avais envie de ne plus bouger et de regarder pour le reste de l'éternité.

Je sentais encore cette force vampiresque qui courait dans mes veines, alors que la chambre redevenait silencieuse, si ce n'était que la respiration d'Emka, un peu plus loin. Elle avait raison, cette fois. J'étais distant, maintenant. Dès qu'elle s'approchait ou esquissait le moindre geste vers moi, je m'éloignai d'autant plus. Je tenais simplement à réfléchir avec moi-même...

Pourquoi l'effet n'était toujours pas passé? Pourquoi mes crocs étaient-ils toujours présents derrière mes lèvres étroitement fermées? Et cette envie, aussi démoniaque soit-elle, qui me rongeait l'esprit, inlassablement, arrachant la moindre part de rationalité. Pourtant j'avais bu réscemment... non? Je fouillai dans ma mémoire, mais celle-ci restait brumeuse. Misère. Il fallait que je m'éloigne. Emka... était en danger? Mais je n'y arrivais pas. Ma volonté était seulement suffisante pour m'empêcher de l'égorgée, ici et maintenant. Il n'y avait aucune douceur, aucun amour dans cette pensée et elle me répugna profondément, me secouant d'un long frisson.

Mais soudain, ce fut comme si mon propre corps se révoltait contre mon impassibilité. Il se révélait comme un traite et se mit à faire tout en son possible pour me faire flancher. Ou alors je devenais fou. Mais ce n'était pas mon imagination qui faisait emplifier le parfum de la peau et des cheveux de la jeune fille qui se trouvait dangereusement dans ma chambre. Ce n'était pas mon esprit qui me jouait des tours lorsque je me mis à entendre presque distinctement le moindre battement de son petit coeur affolé, ou encore sa respiration. Et lorsque j'ouvris les yeux, toutes les choses que j'aimais chez elle me claquèrent à la figure, se révélant si appétissantes que j'avais envie de la dévorer sans scrupule. Et mes yeux avaient toujours la même teinte. Je ne me contrôlais plus. J'avais besoin d'aide avant de commettre l'irréparable.

Je fis un pas vers elle, et un sourire rassurant se disposa sur mon visage, adoptant une expression mièvre que je ne me connaissais pas. J'étais emprisonné dans mon corps qui avait décidé d'être vampire. Trop tard, elle était fichue. Complètement fichue. Et moi, en pauvre spectateur, j'allais assister à la scène de son meurtre, oppéré par nul autre que moi-même... Cauchemar, malédiction, enfer faisaient partie des millions de mots qui hurlaient dans ma tête.

- Ma douce, mon ange, je suis désolé, j'étais confus..., dis-je tout bas d'une vois douce et appaisante, et légèrement piteuse. J'étais bon comédien. Impossible de ne pas tomber pour se jeu infaillible. Je comprenais maintenant pourquoi j'étais si doué pour jouer Roméo...

Je tendis la main vers ma belle et m'avançant encore et la pris dans mes bras, la serrant contre moi, enfouissant ma tête dans ses cheveux, dangereusement proche de son cou. Mais là encore, impossible de supçonner quoi que se soit... Ce Kizrell était décidément un expert pour copier mes chaques faits et gestes... No wonder.

- Il faut dire que depuis l'apparition de ce monstre..., soufflai-je, la voix vibrante de colère et de rancoeur. Je laissai ma phrase en suspence et m'écartai doucement d'Emka, recueillant comme quelques minutes auparavant son visage entre mes paumes froides. Je la regardai avec douceur, alors qu'en moi grondait un feu, un feu assoiffé, un feu dévorant, gourmant, qui n'attendait que son heure pour l'engloutir. Mon esprit criait à Emka de s'enfuir, de me blesser, de me repousser, mais rien ne franchissait mes lèvres sauf les douces paroles qui je discourais depuis quelques instants. Et rien dans mes yeux flambloyant ne pouvait trahir mon désarroie et mon impuissance face à moi-même. Oh, si j'avais su...

Maintenant, mes lèvres étaient à nouveau scellées aux siennes. Avec une passion trop violente et soudaine pour être proprement mienne. Je sentais sa peur lorsque mes bras de fer la bloqua dans une étreinte puissante, mais je la sentais également partagé, hésitante, lorsque ma langue s'incrusta dans sa bouche presque brusquement. C'était facile, trop facile. Elle était fragile, si fragile... J'aurais voulu n'importe quoi à cet instant pour que Black-Emka prenne la relève et me donne un bon coup de poing. Mais j'ignorais le désir qu'éprouvais ma belle en mon encontre. Désir qui pourrait lui coûter la vie si nous allions jusqu'au bout de celui-ci...



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[Alors voilà, je t'explique, au cas si tu n'as pas tout à fait compris. Je suis un peu prisonnier de mes envies vampiriques. Donc ce n'est pas vraiment moi. Et lorsqu'un vampire charme, il est presque impossible de résister, comme tu dois le savoir =) Tu ne pourras pas le deviner, sauf si tu portes vraiment attention à ses yeux et ses manières, mais nous savons tous deux qu'Emka avait envie de Kizrell... alors il est peu probable qu'elle le repousse. Enfin, d'après moi. Donc, dans le fond, tu risques bientôt de te faire mordre si tu te laisse faire ^^ J'attend une belle réponse de ta part, tu as une semaine, après tout Et n'oublie pas de te relire... Voilà ! <3]

[ Je t'avertis déjà d'avance, mais j'ai mon clavier qui merde et des lettres ne s'affiche pas. je vais le faire réparer sous peu d'accors]

Que pouvait-il bien ce passer dans la tête de Kizrell? Je me le demndais depuis un bon bout de temps, mais jamais je ne trouvais de réponses. Pourtant, moi aussi je me posais certaines questions qui comme d'habitude n'avais jamais aucunes réponses, mais pourtant quelque choses m'intriguais chez l'homme que j'aime. Ses yeux...Pourquoi étaient-ils toujours aussi écarlates. Cela me perturbais au plus au point. Alors que nous partagions un baiser passioné. Il se détacha de mes lèvres et se jeta contre le mur d'en face me laissant seule sur le matelat.

Voulant le rejoindre, il fit tout pour me faire comprendre de ne pas l'approcher. Pourquoi réagissait-il d cette manière en vers moi? Il sait pourtant que je ne veux rien lui faire. Alors pourquoi cette réaction? Je ne comprend pas. Tout ce bouscule dans ma tête. Je fis donc demis-tour et allai me remettre sur le matela, le regardant doucement. Après plusieurs minutes qûi pour moi me paraissait des heures, il fit un pas devant moi, prenant son si doux sourir qui me fit sourir de soulagement.

- Ma douce, mon ange, je suis désolé, j'étais confus...

Il me parla d'une voix si douce et si mélodieuse.Malgré la couleur de ses yeux anormalement rouges et de ma naiveté sans limite, je ne me méfiais de rien. Et puis, pourquoi devrai-je me méfier de mon ange? Ce n'est pas logique. Il tendit une de ses main de glace dans ma direction avançant doucement avant de me prendre doucement dans ses bras forts. Il mit doucement sa tête dans mes cheveux ce qui me fis sourir. Je ne me méfiais de rien.

Il faut dire que depuis l'apparition de ce monstre...,

Je soupirai, Car je savais que depuis l'apparition de ce foutu vampie de malheur il était mal, il se retira et reposa ses mains froides sur mes joues e regardant avec une douceur telle de la soie, je posai une de mes mains sur la sienne souriant.

-Oublie tou ça nous sommes ensemble maintenant non?

Ses lèvres se posèrent encore une fois sur les miennes, mais ce baiser était différentde ceux q'il me donnait, et je commençais à trouver ça louche, je me mis donc à tremblr un peu. C'était différent et la différence m'effraye. Mais malgré tout je me calmai et appuya le baiser. J'eu un sursaut losque sa langue passa dans ma bouche. Mais ma naïveté prit le dessus sur mon soute. E j'appuyai le baiser en faisant bouger moi aussi ma langue.

Cette instant d'intmité j'en rêvais depuis des semaines, j'voulais que Kiz et moi soyons plus intimes, que nous réussissons à dépasser nos limites dans notre relaton et enfin tout ce donc je rêvais était en train de se passer. Quel Bonheur!

Pourtant, une petite voix dans ma tête me dit de me méfier de celui que j'aimais, mais je la repoussai violemment. J'aurai surement mieux fait de l'écouter si j'aurai su ce qu'il va se passer dans les minutes qui suivent.

[Le topic te convient-il?]

UP

-Oublie tou ça nous sommes ensemble maintenant non?

Ces paroles, d'une innocence toute pure, raisonnait en moi, alors que mon corps prenait plaisir à la sentir toute naïve entre mes doigts viles. Elle tremblait. De froid? Non, bien sûr, de peur. J'avais envie de crier! *EMKA!!* Mais déjà, ses frissons c'était calmé, à mon grand damn et au grand bonheur de l'esprit maléfique qui contrôlait mon corps. Après un moment de baisers intenses, le moi qui n'était pas moi se décolla des lèvres de ma douce, la poussant tranquillement contre le matelas, alors qu'il posait des baisers prometteurs le long de sa mâchoire, prenant son temps, la faisant languir avec plaisir. J'étais dégoûté, et impuissant.

Une fois mes lèvres qui n'étaient pas les miennes déposant leur contact mielleux dans le coup de ma belle et fragile Emka, mes doigts de marbres se mirent à se glisser sous le haut (qui était ma chemise), caressant avec un peu trop d'envie son ventre plat et chaud pour être mes gestes. Je plantai un baiser glacé sur ses lèvres et fis sauter les deux boutons du bas de la chemise en la regardant dans les yeux, de mon regard de feu. J'avais l'air calme, mais c'était la guerre, à l'intérieur. Je me redressai lentement, admirant ma proie sous mes doigts et souris, dévoilant mes crocs avec délice, mon regard devenant soudain froid et effrayant.

- Tu es à moi, soufflai-je, avant de plonger dans son cou, mes lèvres déjà à la base de son cou. J'avais un plaisir pervers à sentir son coeur battre plus vite, à sentir son sang courir dans ses veines et à anticiper la sensation de sa chaire fraîche se déchirant sous mes dents. En moi, je hurlais de rage, je me démenais comme une forcené, avec véhémence, mais je ne produis qu'une légère hésitation avant que mes dents se plantent dans la peau douce et chaude de ma belle Emka, qui devait être stupéfaite et morte de peur. Si je n'étais pas déjà fou pour devoir assister à ce supplice, je le devins rapidement en goûtant malgré moi à ce nectar digne des cieux. C'était du miel chaud, au parfum de fleur, envivrant comme l'alcool, revigorant comme du café. C'était la vie qui coulait dans ma gorge, c'était le délice pure et brut. Ça devait être un acte criminel tellement c'était divin... Kizrell! Réveille-toi!

Comme un abruti, je m'étais laissé allé à cause du sang, mais le monstre que j'étais aussi avait baissé sa garde et j'en profitai pour mettre toute ma force pour briser la prison mentale et me libérai au prix d'incommensurable effort. Mes yeux, qui s'étaient fermés pour apprécier mon repas, se réouvrir avec horreur, toujours écarlate, mais sans scintillement, signe d'une charme vampirique. Je libérai Emka de mon emprise de fer au niveau des bras et m'écartai violement, me recroquevillant dans un coin de la chambre, détruisant un bout de mur tellement j'y étais allé avec force. Je crachai le reste du sang dans ma bouche, m'essuyai le menton en tremblant de rage et de dégoût et je sentis le contrôle en moi reprendre en puissance et mes pupilles durent reprendre le doux lavande que je leur connaissait. La tête dans les mains, je sanglotai, sans larmes, creusant de profondes marques dans ma nuque. Mais aussitôt celles-ci faite, elles disparaissaient, grâce au bon soin du sang d'Emka... Emka!

Je me redressai, fut à ses côtés en moins d'une seconde, mais hésitai de nouveau à la toucher. Mais je me résignai,mordant mes lèvres jusqu'au sang, mes yeux exprimant toute ma tristesse de la voir dans cet état et mis des doigts tremblant sur le trou que mes dents avait fait dans son cou.

- Emka...Emka...Je...Emka, pardonne-moi, je n'ai pas pu... ce n'était pas...

Et je tombai à genoux, faible et lâche, au pied du lit, une main serrant la sienne, la tête contre ma poitrine, mon dos se soulevant au gré de ma respiration saccadée. *Oh qu'ai-je fait? Mais qu'ais-je fais??*

J'aurai mieux fais de me douter dès le départ mais comme je l'ai dit ma naïveté était sans aucune limite, Cela devenait vraiment très intime entre nous et je dois dire que cela me plaisait vraiment, car me sentir aussi prés de Kiz était un réel bonheur, M'embrassant doucement la machoire descendant doucement le long de mon cou et moi je me laissait faire.

La sensation produit par ses baisers était incroyable et me faisait frissonner de plaisir, quand à moi je tendais mon cou pour avoir plus de sensation, mais en tendant mon cou je ne me doutais pas du risque que je prenais mais bon peut importe me disais-je en se moment. Mes mains quand à elles carressaient doucement le dos de mon amour. Lorsqu'il se détacha un peu de moi, se surélevant, son regard avait changer, ses cros. Je les voyais parfaitement et qu'elle était ce regard meurtrier. Oulà ça sens le roussis la.

-Tu es à moi.

Lorsque je voulus prononcer une phrase, je sentis une horrible sensation de brûlure, enfin non, mais je ne pouvais dire comment était cette douleur, c'était comme une brûlure mélanger a une coupure, mais c'était très douloureux c'est tout ce que je pouvais dire. J'essayais veinement de le retirer de moi, mais il avait bien trop de force pour moi. J0hurlais son nom pour qu'il arrête, lorsque soudain il se retira et se jeta contre le coin de la chambre, détruisant un bout du mur avec sa force brute.

Je me mis ma main sur la plaie qui coulais à flot, le sang coulait jusqu'a ma poitrine, je le reggardais tremblante, pour tout vous dire, je ne savais pas si j'avais peur ou pas, mais en se moment j'étais plus en état de choc. Des larmes coulèrent le longs de mes joues. Ses yeux! ils étaient redevenus violets cela me rassurai un minimum. En une fraction de seconde il se retrouva vers moi. J'eu un sursaut et posai mes main sur le sol le regardant.

Je pouvais lire dans ses yeux la tristesse qu'il endurait de m'avoir mordu. Il posa doucement sa main sur mon cou ou se trouvait plus précisément la morsure, j'eu un petit recule, car j'étais perdue, était-ce mon amour ou encore ce vampire. Je regardai au fond de ses yeux et vis que c'était mon amour et non ce vampire qui avait prit sa place afin de me mordre et d'éteindre sa soif. Kiz se mit enfin à parler de sa voix celle que je connaissais.

- Emka...Emka...Je...Emka, pardonne-moi, je n'ai pas pu... ce n'était pas

Il tomba a genoux cette scene me fit du mal et je le pris dans mes bras instantanément lui carressant doucement la tête avec tout l'amour que je lui porte.

-Ce n'est rien...C'est ma faute je n'avais pas compris tout de suite que ce n'était pas toi. Mais ne t'en veux pas je t en prie. Je t aime.

Mes larmes continuèrent de couler. Je me retirai et lui levai la tête avec une de mes main un sourir radieux comme à mon habitude et je l'embrassai doucement en signe qu'il était pardonner. un simple bandage sur les plaie et c'était fini. Mais je sens que cela ne va pas passer comme ça.

[Je répond dès que je peux. Prète à sentir la colère d'un Kiz en furie? - inutile de me répondre X'D]

[ heu oui et non je dois dire XD]

Up!!Kiz

Ces bras qui se refermaient sur moi...Cette douceur dans cette voix. C'était trop. Pourquoi me pardonnait-elle sans arrêt?? Pourquoi ne se mettait-elle pas en colère, comme moi je l'étais?! J'étais tellement furieux, furieux de ne pas être capable de la protéger de moi-même, et elle, elle me pardonnait d'avoir faillit lui enlever la vie.

-Ce n'est rien...C'est ma faute je n'avais pas compris tout de suite que ce n'était pas toi. Mais ne t'en veux pas je t en prie. Je t aime.

J'eu un frisson violent et m'écartai aussitôt, réapparaissant sur le rebord de la fenêtre que j'avais ouvert à la volée dans mon emportement.

- Ce n'est rien?! Ce n'est RIEN?, m'exclamai-je, totalement hors de moi, me crampognant solidement contre le cadre de la fenêtre, le vent fouettant mon dos sans que je ne sente sa douce caresse. Je secouai la tête, les épaules tremblantes à moitié par un rire et un sanglot. J'étais fou, mais tout à fait lucide et en pleine possession de mes moyens.

- Ce n'était pas rien, Emka... sifflai-je, tremblant de hargne envers moi-même, créature infâme qui était, quelques minutes auparavant, en train de lui sucer le sang. J'étais en train de te tuer, et toi... tu me PARDONNES?! ET TU OSES MÊME DIRE QUE C'EST DE TA FAUTE?!

Je filai dans la chambre, faisant voler les éclats du miroir brisé au sol, retombant comme une poussière d'étoile. Je défonçai l'armoire qui contenait mes chemises, seul meuble encore intacte de la pièce. Puis, redevenant visible pour l'oeil nu, je me tins bien en vu devant le matelas où Emka se tenait, mortifiée.

- Et ça?! C'est de ta faute aussi?! Tu es responsable pour mes actes, aussi vils soient-ils?! Foutaises, Emka! C'est moi, et moi seul, l'unique responsable de ce désastre! Je suis l'assassin... qui t'aurait oter la vie!!, criai-je, véhément.

Bouillant de rage, je me précipitai à la fenêtre et me jeter dans la vide, rattrapper par mes ailes, je remonter en flèche vers le ciel et criai à plein poumon toute ma rage et mon impuissance. Ce cri tribal résonna dans la nuit comme le tonnerre. Je passai de longues minutes à m'épuiser physique, à voler contre le vent, le plus rapidement possible, à voltiger à des hauteurs et vitesses vertigineuses puis je revins vers le Lycée et après un moment de calme, je me reglissai par la fenêtre, les ailes déployées, le regard sombre, les sourcils froncés par l'inquiétude et le désarroie.

- Emka..., soufflai-je avec une immense douleur. C'est cet amour immense que j'ai pour toi qui me délivre et mes fait souffrir à la fois. Si tu meurs... je ne le permetterais pas et trouverais le moyen de mourir avec toi... Mais si tu meurs... de ma main... je damnerais ma vie maudite pour le restant de cet éternité infernal...

Mes ailes disparurent, je glissai au sol, parmis les débris, gardant mon regard violet fixé sur la rousse.

- Ne me pardonne pas... pas pour ça, lâchai-je, finalement. Pardonne-moi plutôt d'être tombé amoureux de toi...

Up, pour être sûr que tu l'as vu. u_u'

Alors que je tenais Kiz dans mes bras et que j'essayai au mieux de le rassurer en lui disant que ce n'étais pas grand chose, que ce n'étais qu une simple égratinure. Il changea brusquement d attitude, se détachant de moi avec une telle vitesse que je le vis sur le rebord de la fenêtre. Je le regardais, lorsque soudain il s'emporta avec une telle force que c'est comme si je vivais sa situation, je ressentais toute la douleur qu'il éprouvait. ( oui Emka sens le malheur dans les gens).

- Ce n'est rien?! Ce n'est RIEN?,

JE restais silencieus sur mes genoux, Je le regardais complétement sou le choc c'est la première fois que je le voyais dans un telle état. Note que même si je ne pouvais pas comprendre sa situation, je n'imagine pas la douleur qu'il a en lui, bien que je la sente. Mais que pouvais-je faire? Rien, je restais silencieuse a le regarder.

Ce n'était pas rien, Emka... J'étais en train de te tuer, et toi... tu me PARDONNES?! ET TU OSES MÊME DIRE QUE C'EST DE TA FAUTE?!

JE ferma les yeux, me cramponant a mes propres épaules, je n'avais pas peur, mais je n'aimais pas le voir dans cet état. Et je ne savais pas ce que je devais faire. D'un coup il se déplaça avec une telle vitesse que je ne pu le voir, je vis juste le mirroir se briser, l'armoir en mille morceau avec toute ses chemises tomber sur le sol. Lorsqu'enfin il se mis en face de moi. Je leva les yeux, le regardant presque pétrifiée.

- Et ça?! C'est de ta faute aussi?! Tu es responsable pour mes actes, aussi vils soient-ils?! Foutaises, Emka! C'est moi, et moi seul, l'unique responsable de ce désastre! Je suis l'assassin... qui t'aurait oter la vie!!,

JE mis mes mains sur mes oreilles ne voulant en aucun cas entendre ce qu il me disait, je sentais les larmes me monter au yeux, et soudain une force inconnu me montait dans les veines et je le sentais, le désépoire, la rage et surtout l'amour que j'avais pour Kiz.

Je ne bougeai pas je ne disais rien, je restais dans cette même position, recroquvilée sur moi même, les mains sur mes oreilles et la tête baissée. Je ne sentis même pas que Kiz partit par la fenêtre, Il vola pendant un bon moment tandis que moi je me suis un peu relevée, et repliya les che,ise et les posai sur le matelat sur lequel je me trouvais il y a peu de temps. je sentis soudain un coup de vent je me retournais et vis Kiz avec un regard que je ne connaissais pas, il avais les sourcils froncés et ses trais du visage étaient complétement différent. On voyais la souffrance dans son regard.

- Emka..., C'est cet amour immense que j'ai pour toi qui me délivre et mes fait souffrir à la fois. Si tu meurs... je ne le permetterais pas et trouverais le moyen de mourir avec toi... Mais si tu meurs... de ma main... je damnerais ma vie maudite pour le restant de cet éternité infernal...

Les larmes étaient finalement sortit, ces mots, je le regardais je n avais qu'une envie courrir le prendre bras et le consoler mais mes jambes refusaient de bouger. J'écoutais donc ce qu il me disait gardant mon regarde dans le sien.

Ne me pardonne pas... pas pour ça. Pardonne-moi plutôt d'être tombé amoureux de toi...

Une douleur immence me parcourur le coeur, j'avais presque l impression de mourir, comment....comment pouvait-il me dire ça? Mes jambes bougèrent toutes seule, je me dirigeai vers lui et lui donna une claque monstrueuse. Je le regardai, les sourcils froncés, les larmes coulaient à flot surmon visage.

-Comment? Comment ose-tu me dire ça? Celui qui a osé me faire du mal ce n'est pas toi! C'est la bête qui t'habite! Tu me dit que je ne dois pas te pardonner, mais comment veux-tu qu eje te pardonne d'être tomber amoureux demoi! C'est la chose la plus merveilleuse pour moi! Que tu sois Vampire, humain, démon ou ange! Cela ne change rien pour moi! Je t'aime et c'est tout. Alors arrête de dire des bétises!

Je m'éffondrai à genou sur le sol, les main sur ma figure et pleurais toutes les larmes de mon corps, Je ne pouvais suporter ce qu il venais de me dire, cela était trop dur. Je ressentais déjà toute sa souffrance qui me faisais souffrir, mais alors ce qu il venais de me dire c'en était trop, je l'aime de tout mon coeur, mais lui n'a-t-il plus aucun sentiments?

-J'espère au moin... que tu m'aime toujours Kiz, car moi je...je ne pourrai t oublier et je t aimerai toujours. dis-je difficelemt avec ma respiration saccadée.

Si il n aurai plus de sentiments a mon égare alors pourquoi continurai-je de vivre?

Up ^^ Désolé pour le temps et pardonne emka pour la clac ^^

Up Kizou

Je n'avais pas repris ma respiration après avoir déballé toute ma colère et mon désespoir. Ce qui m'achevait le plus, c'était mon impuissance. J'étais un vampire, bon sang! Un vampire, et certainement le plus faible qui soit. Mais je ne lâchais pas Emka du regard, mes yeux violets étaient figés dans le gris des siens. Elle restait tout aussi figé, comme si chaque mot venait l'enfoncer d'autant plus dans le sol couvert de débris de verres. Comme si chaque mot la frappait de plein fouet, sans qu'elle ne le laisse paraître. Enfin, elle se remit à respirer, à réagir et c'est avec résignation que j'attendis qu'elle me dise qu'elle ne voulait plus me voir. Au lieu de quoi, la belle rousse vint me donner une claque retentissante, mais étant de marbre et de glace, je ne bougeais pas d'un poil, l'ayant ressentit autant que la caresse du vent. Je m'inquiétai brièvement pour sa main, qui allait la faire souffrir. Frapper un vampire, même si c'était un sang-mêlé, n'était pas une chose des plus réfléchie. Mais la jeune étudiante était en colère. Elle en tremblait presque, les larmes inondant une fois de plus son beau visage-je n'étais définitivement doué que pour la faire pleurer-:

-Comment? Comment ose-tu me dire ça? Celui qui a osé me faire du mal ce n'est pas toi! C'est la bête qui t'habite! Tu me dit que je ne dois pas te pardonner, mais comment veux-tu qu eje te pardonne d'être tomber amoureux demoi! C'est la chose la plus merveilleuse pour moi! Que tu sois Vampire, humain, démon ou ange! Cela ne change rien pour moi! Je t'aime et c'est tout. Alors arrête de dire des bétises!

Si proche de moi qu'elle était, on ne se touchait toutefois pas. Le coeur en miette, je la vis s'affaisser à mes pieds, secouée de sanglots. Ses larmes ne se tariront-elles jamais? J'étais une constante source de tristesse... J'étais un bon à rien.

-J'espère au moin... que tu m'aime toujours Kiz, car moi je...je ne pourrai t oublier et je t aimerai toujours.

Sa phrase me fit un choc. L'aimer encore? L'aimer toujours? Elle devenait cinglée ou quoi? Elle était ce qui me faisait vivre. Comment faire pour ne plus l'aimer? Je tombai à genoux moi aussi, et n'écoutant que mon coeur fragile et gelé, je l'entourai de mes bras fort, la rapprochant de moi avec une tendresse et une douceur infinie. Je la berçai contre moi, ma main essuyant du mieux qu'elle le pouvait le flot de larmes d'Emka. Ma joue appuyé sur son crâne, je fermai les yeux, m'enivrant de son parfum. J'oubliai pourquoi je m'étais mis en colère.

- Sshh, Emka, ne pleure pas, s'il te plait...Tu es ma vie, Emka. Tu es mon coeur, mon ange. Si je t'aime toujours? Je t'aime jusqu'à l'infini...

Puis, je pris son visage entre mes mains froides et la regardai avec sérieux, mais aussi avec amour.

- C'est mal, de t'aimer autant. C'est malsain... Mais tu es si entêtée...

Je souris légèrement, caressant avec tendresse sa joue humide. Je l'embrassai sur les paupières avec une lenteur amoureuse. J'embrassai son front, son nez, ses joues. J'embrassai doucement ses lèvres, d'abord du bout des miennes, puis avec plus d'insistance. À chaque fois que mes lèvres se décollaient de sa peau, je murmurais ''Je t'aime'' pour ensuite l'embrasser de nouveau. J'étais bien. J'étais calme, j'étais détendu. J'étais en contrôle. J'étais amoureux.

Doucement, je me levai, toujours en la tenant dans mes bras. Puis, réduisant en poussière les morceaux de verres sous mes pieds nus, je vins l'allonger sur le matelas dénué de draps et disparu le temps de compter trois secondes. J'étais de nouveau près d'elle et j'avais réussi à mettre un draps contour en moins de 5 secondes, sans qu'elle s'en aperçoive. Puis, sans plus attendre, je me lovai contre elle, torse nu, et l'emprisonnai dans mes bras, enfouissant sa tête dans le creux de mon cou, l'enveloppant dans une couverture afin d'être sûr qu'elle n'attrape pas froid durant la nuit, à force d'être collée au bloc de glace que j'étais. À l'oreille, je lui murmurai un dernier ''Je t'aime'' et lui conseillai avec douceur de se reposer.

En effet, la nuit n'avait pas été de tout repos. C'était le moins qu'on puisse dire.


[Désolé du retard o_o'']

Après lui avoir collé un claque monumentale et mettre écrouler au sol. Je sentis soudain un chose me bercer avec tant de douceur et de tendresse, une main délicate sécha du mieux qu'elle pouvait le flot de mes larmes. Je levai les yeux et vit mon demi-ange, avec ce regard, ce regard que j'aimais tant, ce regard qui me rassurait et qui me montrait à quel point il m'aimait. Sa tête posée sur mon crâne et ses bras musclés m'entourer je me sentais si bien, en sécurité comme ci personne ne pouvait nous vaincre. Il me parla afin de me rassurer de ce que je venais de lui dire.

- Sshh, Emka, ne pleure pas, s'il te plait...Tu es ma vie, Emka. Tu es mon coeur, mon ange. Si je t'aime toujours? Je t'aime jusqu'à l'infini...C'est mal, de t'aimer autant. C'est malsain... Mais tu es si entêtée...

Mon visage entre ses mains, mes larmes enfin s'estompèrent, je lui souris doucement rassurée que pouvais-je rêver de mieux. OUi j'étais entétée et tu sais quoi mon amour j'en suis fière. Je l'aimais plus que tout et jamais je ne voulais le quitter. Il embrassa chaque parcelle de mon visage et chaque fois que ses lèvres se décollaient des miennes il me disait un je t'aime. En 3 secondes il mis un drap sur le lit et se lova doucement contre moi, psant avec une délicatesse tout comme on le ferai avec un nouveau-né, il mit ma tête dans les creux dans son cou. Avec douceur je posais de léger baisers sur celui ci. Il me conseilla de me reposer, mais avec de telles émotions, je ne vais pas pouvoir dormir.

Mais une chose me vint à l'esprit Kiz devait être immortel, alors que moi non. Quelle veine! ET oui je suis une ange qui n'a plus d'ailes et un ange sans ses ailes ne peux plus être immortel et cela Kizrell doit le savoir comme il était lui aussi un ange. Le seul moyen pour que je reste avec lui jusqu'au la fin c'est....Non! Mieux vaux pas que je lui en parle il va encore s'énerver. Mais il faut que je lui dise. Je me redressais avec délicatesse et posa encore une fois un doux baiser sur les lèvres de mon amour. Posant ma main sur sa joue je me décollai avec regret. J'aimais cette sensation de ses lèvres contre les mienne. Mais il fallait que je lui parle.

-Kiz. Tu dois forcément savoir que les anges sont immortels grâce à leur ailes n'est-ce pas?

Je fis un courte pose craignant de plus en plus la suite. EN fait ce que je craignais c'étais sa réaction.

-Kiz, tu dois savoir que je ne suis plus immortels, car comme tu le sais je n'ai plus d'ailes. Mais toi tu l ai et en plus d'être a moitier vampire. Comment va-t-on faire? Moi je vais vieillir et pas toi. Je serai prête à faire n'importe quoi pour rester avec toi pour l'étérnité. Je t'aime tellement.

Comment allait-il réagir à cette nouvelle car oui il devait surement l'avoir oublier.

Up Up

[J'y répons bientôt,j 'avais pas vu ]

Up mon coeur ^^